1. Cocu mécontent appelant la vengeance (2)


    Datte: 01/08/2017, Catégories: Divers,

    ... pas du sien qui traîne. Sans autre forme de procès, je prends mon téléphone et interviens : – Bonjour ma chérie, je suis en train de rentrer, j’arrive dans 10 minutes, il y a un contre-temps à toute à l’heure. – Sur l’écran, je m’aperçois d’un remue-ménage de bon augure, mais simultanément j’entends un taxis que j’avais appelé, qui arrive au motel où je m’étais installé. Je passe à la réception et annonce : – Laissez ma chambre dans l’état, je garde la clé et repasserais dans la journée. Je guide le taxi et lui indique notre maison et lui demande de se placer derrière ma voiture quand je vois un individu quitter brusquement notre maison par-derrière. Le constat – Halte ou je tire, je le somme alors que je n’ai aucune arme, mais le chauffeur de taxi, bénévolement a ce qu’il faut pour faire vrai et me refile son pistolet. L’autre me voyant armé recule et rentre à la maison. Je rentre avec le fugitif en demandant au taximan de m’accompagner en lui précisant qu’il sera payé largement. Arrivé devant ma chérie, je lui fais remarquer que je viens d’arrêter un voleur qui tentait de s’échapper de la maison et que je vais de ce pas, appeler les gens d’armes en faisant un clin d’œil au taxi qui a bien compris que je jouais la comédie. – Non Chéri, ne fais pas cela ! Comme tu m’avais annoncé que tu serais absent longtemps, je lui ai demandé de m’apporter à manger et nous avons discuté un peu trop longtemps. – Je comprends, excuse-moi, mais ces traces laiteuses qui coulent depuis un ...
    ... moment sur tes jambes, c’est le fruit de tes discussions ? Ou si tu as des pertes blanches ? – Je crois que ce sont des pertes blanches certainement. – Je suis surpris qu’elles coulent aussi abondamment et l’odeur n’y est pas vraiment. Je crois que je vais t’accompagner chez un de mes amis médecins pour faire un prélèvement de ces pertes. – Non, je t’avoue que je t’ai trompé et je t’en supplie de me pardonner, mais c’est si long de t’attendre et avec le temps, l’habitude, j’ai eu envie de connaître un autre homme. – Qu’un ? – Heu ! Non, plusieurs. – Mais dis-moi si ce qui coule de tes cuisses est du sperme, cela veut dire que tu baises sans protection ? C’est délicat de ta part de m’obliger de le faire avec un préservatif. – C’est parce que en dépit de mes besoins, je t’aime toujours mon amour. – Vous qui avez bien profité de ses largesses sexuelles, qu’en pensez-vous de son amour à mon endroit ? Au fait, nous nous sommes pas présentés. Mon nom est Alexandre – Je m’excuse que nous nous rencontrions sous de si terribles auspices, je m’appelle Joseph, je tiens la pharmacie et c’est moi qui ai recommandé à madame de vous protéger, vu ses débordements extra-conjugaux. – Hum ! Intéressant. Connaissez- vous les autres candidats à la guignolette avec mon épouse ? – Oui, il y a le maire qui est toujours à la recherche de soutiens, le secrétaire et le capitaine des pompiers et deux sapeurs à ma connaissance. – Si je ne me trompe pas vous êtes tous mariées ? Avant de repartir, je veux que ...