1. L'étudiante (3/5)


    Datte: 23/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    L’étudiante (3/5). Avec la rudesse calculée que j’adoptais pour la renvoyer, j’espérais qu’elle ne reviendrait pas malgré le feu que, par nos baisers incendiaires, nous avons allumé l’un en l’autre. Il y allait de ma réputation bâtie jusqu’alors sur une moralité à toute épreuve dans mon milieu professionnel, et de la sienne, encore plus exposée compte tenu de la place réservée à la femme dans notre société, marquée du sceau d’un traditionalisme étroit. Elle mit plusieurs jours avant de reparaître en profitant de la porte entrebâillée (que venaient de quitter deux jeunes collègues après notre séance de travail) pour entrer sans frapper. Je fus surpris de la voir au pied de mon bureau alors que j’étais encore plongé dans un dossier. Elle me dit qu’elle avait obtenu son inscription à l’Université de * et qu’elle allait la rejoindre début septembre. On était mi-juin. Je l’ai félicitée en me levant pour lui serrer la main, mais elle était retournée prestement à la porte pour la fermer à clé. Elle revint, un sourire ravageur sur le visage et m’enlaça sans prévenir en me serrant fortement. Je relevai son menton et plongé mon regard dans ses yeux. Elle était désirable comme jamais, très légèrement maquillée. J’ai pris le temps de la détailler cette fois : le voile fut remplacé par une tunique qui descendait jusqu’aux genoux sur un pantalon assorti genre habit indien. Un foulard couvrait ses cheveux sans enserrer sa tête comme avant. J’amenais sa bouche à la mienne et nous nous ...
    ... embrassâmes avec fougue comme les fois précédentes. Tout en nous embrassant, elle prit une de mes mains et la porta sur son buste. Je me rendis compte alors que, hormis sa frimousse que j’ai comblée de caresses et de baisers, je ne l’avais quasiment pas touchée. Je fis courir ma main sur le haut de son buste, sur son cou et sa nuque avant de la faire redescendre dans le creux des seins où je rencontrai la bande de tissu reliant les deux globes de son soutien-gorge. Je passai délicatement ma main sur l’un puis l’autre à même le tissu de sa tunique dont je pus constater la finesse et la légèreté par opposition à son voile épais. Je descendis ma main sur son ventre par-dessus le tissu et alors, me prenant énergiquement cette main, elle releva légèrement sa tunique et la posa à même la peau. Elle ne portait rien sous ce vêtement suffisamment opaque pour qu’on ne puisse rien deviner, le soutien-gorge excepté. Je fis des mouvements concentriques sur son ventre tout en relevant de l’autre main, par touches successives, la tunique protectrice. Je le fis ensuite des deux mains, y allant franchement en l’enroulant sur ses épaules pour découvrir un ventre plat d’une couleur rose-pâle et un tout petit nombril qui attira ma bouche comme une fleur gorgée de nectar attire l’abeille. Poussant ma jeune partenaire vers le bureau en lui faisant faire un demi-tour sur elle-même pour la caler, je le titillai de ma langue et ma bouche, maintenant qu’elle y a accédé, ne se priva pas de donner des baisers ...
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