1. Mon arrivée


    Datte: 23/09/2018, Catégories: hplusag, oncletante, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné,

    Je viens d’avoir mon baccalauréat (avec mention, je suis super fière) et, suite à l’annulation d’un plan avec des copines (mon amie Sandra l’a pas eu, alors elle boude un peu et va tenter l’oral, mais c’est pas gagné, du coup elle révise et Anna s’est cassé la jambe, donc c’est grillé pour aller passer une semaine chez sa sœur et son copain près de Marseille), j’ai demandé à ma tante Nadia de m’accueillir pour quinze jours chez elle et mon oncle dans leur maison dans le Sud de la France. Ce qu’elle a évidemment accepté. En réalité, ce n’est pas du tout ma tante mais une amie d’enfance de ma mère, mais pour nous cela est sans importance. Elle a 39 ans et mon « oncle » Gérard 35 ans. Ils sont gentils, ils nous accueillent presque chaque année et leur maison est, pour mon frère et moi, synonyme de vacances. Mon frère est en Italie avec sa copine cette année, du coup j’ai pris quelques livres au cas où je m’ennuierais un peu. Mon train arrive à la petite gare du coin, je suis en petite robe jaune légère qui met en valeur mes petits seins de grande brune. J’ai fait le trajet depuis Lille sans souci particulier, hormis le contrôleur qui aurait, a priori, aimé contrôler plus que mon billet, vu son regard bien peu discret sur ma poitrine, que je n’ai pourtant pas si grosse. Peut-être que dans le Sud, ils ne voient pas souvent de jolies lilloises. J’ai eu un de ces vieux trains où les wagons sont divisés en petites cabines, je n’ai vu ces trains-là que sur cette ligne, jamais dans le ...
    ... Nord où je prends pourtant souvent le train. Cela me semble un peu hors du temps et est intimement associé aux vacances. J’ai ensuite papoté avec une Argentine, ma compagne de cabine, très sympathique, qui rejoint des amis pas très loin du village où je vais et qui m’a indiqué, dans un français parfait, agrémenté d’un air coquin, qu’elle allait « sûrement beaucoup s’amuser » durant ses vacances. Nous avons toutes deux éclaté de rire puis je lui ai dit que ce contrôleur avait été bien mal inspiré de regarder avec envie ma poitrine, vu que la sienne était bien plus appétissante, nous avons toutes deux beaucoup ri et quand le contrôleur est repassé dans le couloir, elle a relevé son débardeur et a exhibé fièrement ses seins à la vitre en riant, ce qui l’a étrangement fait fuir. Je l’ai félicitée pour son audace puis elle est descendue peu de temps après à son arrêt, juste après avoir pris mon numéro de téléphone. Il ne me restait alors que deux petits arrêts. Mes copines me trouvent un peu insouciante par rapport aux hommes mais, à côté de mon Argentine, je suis une coincée, pourtant j’aime jouer un peu de mes atouts en veillant toutefois à ne jamais en tirer un bénéfice, juste pour m’amuser et égayer la journée. — Hé, Sophie !— Ah, oncle Gérard, t’es là. À l’heure cette fois, c’est cool. Je le taquine car l’an dernier il nous a oubliés mon frère et moi à la gare et vu que ni mon frère ni moi n’avions de crédit, on a dû attendre au moins trente minutes que ma mère nous appelle ...
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