1. Pauline - Années étudiantes (5)


    Datte: 23/09/2018, Catégories: Hétéro

    ... pantalon et son caleçon en même temps alors qu’il commençait tout juste à déboutonner sa chemise. Il avait su me donner fortement envie d’aller plus loin avec lui. Et je n’ai pas été déçue en découvrant sa verge, pas encore totalement dure, d’une taille imposante, bien loin de celle de Thomas. Je n’ai pas résisté, je me suis mise à la sucer pendant qu’il finissait de se déshabiller. Et il m’a prise, dans une position, puis une autre, changeant, ne me laissant aucun répit. J’ai joui à nouveau, et une nouvelle fois encore. Et c’est exténué que nous avons essayé de retrouver notre souffle, allongés tous les deux sur le tapis. J’étalais son sperme que j’avais reçu sur mon ventre, comme s’il s’agissait d’une crème de soin. Et il me dit • Et l’autre con qui disait que c’était chiant de baiser avec toi... • Qui ? Thomas ? Il préférait se branler sur des films de boules. Il n’a jamais su y faire avec moi. J’en conclue que t’as pas été déçu. • Je ne suis jamais déçu de découvrir une nouvelle fille. Par contre, il est rare que je termine avec cette impression de non fini... • Comment ça ? • Je suis convaincu que je n’ai pas découvert tout ton potentiel. Je suis convaincu que tu as encore envie de jouer. • De toute façon, à moins que tu arrives à bander maintenant... • Non, là tu m’as vidé pour un bon moment. Mais, on peut faire autrement. • Et tu proposes quoi ? • T’as bien un sextoy quelque part... Je ris, je me sentais bien, je me sentais libre. J’avais l’impression que je pouvais ...
    ... faire confiance à JC, et je lui répondis • Non, je n’en ai pas. • Toutes les filles en ont un. rgqrjjyu • Pas moi. J’en ai eu un il y a longtemps que j’ai jeté. Et rien depuis et pas vraiment les moyens de m’en offrir un pour mes moments de solitude. • Mais, c’est bien mieux à utiliser pour les moments à partager... J’ai vu des bananes dans la cuisine. • T’es sérieux ? Tu veux vraiment continuer à jouer ? • Oui... Je suis curieux de savoir combien de temps tu peux encore tenir avant de me supplier d’arrêter. Ok pour la banane ? • Si tu parles de ça à qui que ce soit... • Je serai encore plus muet qu’une tombe. Je me suis levée pour allumer une lumière. La nuit était arrivée et on n’y voyait déjà plus rien. Et je répondis à JC "Ok pour la banane. Mais, je ne te supplierai jamais d’arrêter. Je peux tenir toute la nuit". Cela le fit rire, il se leva également. En entrant dans la cuisine, je vis André en train de faire la vaisselle devant sa fenêtre. JC alluma la lumière, celle-ci se refléta dans la vitre et m’empêchait de savoir si mon cher voisin s’était mis à regarder. JC choisit la plus grosse banane, et tapotant sur ma machine à laver, me dit : • Vas-y, assis-toi là. • Tu ne veux pas retourner dans le salon ? • Ben, on ne sait jamais si je dois trouver une nouvelle idée, autant éviter les allers-retours. Et il m’attrapa par la taille et me porta pour m’asseoir sur la machine. J’ai tourné la tête vers la fenêtre, de cet angle, la lumière se reflétait moins. Je distinguais André ...