1. Mes chaudes soirées en déplacement (2)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Gay

    ... recouvre plus que le gland. Il la retire, la porte à ses lèvres, le réservoir plus que plein, et aspire pour la retourner dans sa bouche. Il la retire toute propre, exhibe sa bouche vide, puis gobe le sexe de son mec pour le nettoyer. Celui qui m’encule m’a demandé de bien regarder, et m’invite à en faire autant avec lui. Il décharge entre mes fesses, dans son préservatif, et je nettoie tout comme un gros porc. Nos deux amants s’en vont en espérant nous revoir. On se retrouve tous les deux avec mon alter égo, on referme à clé, on bande. Il se colle à moi, on se frotte, on se caresse, on se bécote, et il me propose de rester encore: — On se refait une partie tous les d’eux? — J’aimerais bien, mais il est tard, il faut que j’y aille. — Tu as quelqu’un qui t’attend? — Non, je suis seul, mais je ne veux pas rater le dernier tram. — Ne t’en fait pas pour ça, je peux te ramener en voiture. Avec les triques que l’on se tient, ce serait dommage de ne pas en profiter. — Ok, tu as raison, j’ai envie de m’amuser encore. — Merci mon chéri, on va trop bien s’aimer, tu ne vas pas le regretter. On se recouche sur le lit pour un câlin torride et débridé. Comme pour la première fois on est tour à tour mâle ou femelle, on essaie toutes les positions, toujours devant les miroirs. On est en pleins ébats lorsqu’on frappe à la porte; c’est le patron du lieu qui annonce la fermeture dans cinq minutes. Aussitôt mon partenaire s’empresse de répondre et d’aller ouvrir. Ils semblent bien se connaître, ...
    ... échangent quelques mots, un baiser. Mon copain revient me voir et on s’empresse de se vider les couilles dans un 69 hyper vorace. On gicle rapidement, simultanément, on bouffe tout. On se roule une pelle, on est bouche à bouche, lorsque la porte s’ouvre; c’est à nouveau le patron, et il s’adresse à moi: — Il parait que tu aimes la queue? — Oui, j’adore. — Alors tu vas me faire une bonne pipe mon salaud, me montrer ce que tu sais faire. Il baisse son pantalon, et déballe son matériel, une longue et large queue, malgré sa mollesse. Je m’accroupis et me saisis de son sexe à pleines mains, les couilles dans une, le manche dans l’autre. Je le caresse, le masse, le branle, et très vite son membre s’épanouit. Il est magnifique, le plus beau et le plus gros que je n’ai jamais vu en réel, et je le félicite pour ses attributs des plus alléchants. Il me remercie mais me demande de moins parler, et de sucer. Je m’exécute, le prends à moitié, puis fais des aller retour sur sa colonne, de plus en plus loin pour m’habituer petit à petit à son énorme calibre, jusqu’à le gober entièrement. C’est à son tour de me féliciter, et de féliciter aussi son copain pour m’avoir trouvé. Ils sont tous deux l’un contre l’autre, et tout en pompant je peux les voir se rouler une longue et chaude pelle. De temps en temps leurs lèvres se dessoudent, et il m’encourage à continuer, insultes à l’appui, avant de m’ordonner de lui bouffer les couilles. Elles sont énormes, en rapport à son pieu, et je me régale à ...