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    Datte: 01/08/2017, Catégories: Anal Lesbienne Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... l’amplitude de ses mouvements.Dans le même temps, le visage de Flore c’est illuminé, ses yeux sont devenus plus clairs et plus brillants . Elle sourit en regardant dans ma direction. Elle est métamorphosée. Elle relève légèrement la tête, s’appuyant sur son torse, ses petits seins écrasés sur la table, ouvre sa bouche pulpeuse et fait glisser sa langue sur ses lèvres, puis m’envoi un bisou humide d’une sensualité extrême.Je retrouve le sourire et comprend à ce moment qu’elle jouait son rôle de soumise et que maintenant à l’abri des regards de Madame, elle redevient ma belle, celle qu’elle est réellement.Malgré tout, quelques petites grimaces à peine perceptibles montrent qu’elle sent bien l’imposant jouet la pénétrer, de plus en plus profondément, à chaque mouvement vers l’arrière que fait Madame.Flore en appuyant le coté de son front sur la table et en bombant le dos, relève le torse, me laissant un instant admirer ses petits seins pointus. Madame accélère la cadence de ses mouvements d’avant en arrière, leurs fesses se rapprochent petit à petit. Le long jouet s’enfonce de plus en plus loin dans le cul de ma belle, il ne peut en être autrement.Au deuxième contact de leurs fesses Madame jouit, poussant un cri rauque que je ne saurais vous décrire sinon que par « a****l ».Flore est toujours allongée, elle ne bouge pas ,elle a repris son air « ailleurs » Madame s’essuie l’entre jambe avec plusieurs mouchoirs. Elle se rhabille ...
    ... remet ses chaussures rouges à talons.Un mouchoir en main, elle att**** l’extrémité dégoulinante de mouille de l’objet en silicone couleur chair. Elle le retire doucement, cm par cm. Cela n'en fini pas. Flore reste impassible sans réaction aucune, jusqu’au moment où l’extrémité du long gode la quitte, dans un bruit que je ne vous décrirez pas, mais que vous imaginez bien. A ce moment ses joues se teintent de rouge.Madame dessert la ceinture, Flore se redresse, se rhabille, sans un mot me lance un petit regard furtif avec un très léger sourire, les joues rouges écarlates, visiblement gênée et s’en va sans un mot.Madame range son « matériel dans la sacoche noire, réajuste sa jupe et sort à son tour.Il est 18 heures, j’entre dans le café me dirige instinctivement vers notre table, au fond, mais elle n’est pas là. Je regarde autour de moi, peut-être a-t-elle changé de place, mais non !Je m’installe comme d’habitude, mon regard ne quitte la porte d’entrée que pour regarder l’heure ! Le temps me parait interminable. Pourtant cela fait seulement 10 mn que je suis là, lorsqu’elle pousse la porte, un bouquet de roses à la main et vient vers moi, tout sourire.Elle se penche en avant, je lui tends la joue pour lui faire la bise, mais c’est sur mes lèvres qu’elle dépose un baiser. Le premier, j’en frisonne encore en y pensant.Elle se redresse, s’assoit à mes côtés, me tend le bouquet .« pour me faire pardonner mon retard , ma chérie ». 
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