Mes servantes (3) - Histoires de Sexe

Mes servantes (3)

Chapitre 3 – Noël : Le matin arrive et le soleil me réveille. Sophie dort toujours, le sourire aux lèvres. Je n’ose pas la réveiller, et me lève. Mon érection matinale se manifeste, accentué par la vision de son cul. L’horloge indique qu’il est 8h46. Dans la famille, nous avons coutume d’ouvrir les cadeaux lorsque tout le monde est réveillé ; nous nous sommes fixés l’heure à 10h. Il me reste donc un peu plus d’une heure pour me préparer, mais mon envie prend le dessus. Je me dirige vers Sophie, et lui malaxe son fessier. Elle réagit en gémissant et en se tournant vers le côté. Je continue jusqu’à que je ne tienne plus. Je sors mon pénis et commence à me masturber devant elle. Je ferme les yeux et me remémore de la baise passée. Je m’imagine Sophie, nue, se masturbant, une main dans son vagin, et l’autre dans sa bouche, comme pour imiter mon pénis. Mon sexe réagit et durcis encore plus. Soudain, une bouche attrape mon gland et l’enfonce jusqu’à la gorge. J’ouvre les yeux et vois Sophie me suçant. Elle me fixe avec des yeux reflétant l’envie. Je ne tarde pas à jouir. Par précaution, ne voulant pas tâcher son joli visage avant l’ouverture des cadeaux, je lui fais comprendre qu’elle devait avaler mon sperme. Elle comprit et maintient sa fellation jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche. Elle ingurgite alors le sperme chaud et me sourit : — - Bonjour, Maître. Je lui rends son sourire et m’habille. — Tu es toujours aussi ravissante, Sophie. — Vous m’en voyez ravie, Maître. Je ...

... l’embrasse une dernière fois avant de sortir de ma chambre. Il est alors 9h24. Le manoir commence lentement à se réveiller. Je vais alors réveiller mes parents dans leur chambre. Je ne les trouve pas, mais une lettre était laissée sur leur table de nuit. Il était écrit : — Désolé mon fils, un imprévu à la compagnie nous fait quitter la maison. Ce sera la première fois que nous ne serons pas là pour Noël avec toi. Comme tu le sais, le Nouvel An se passera à l’entreprise. Libre à toi de venir. — Bisous, papa & maman. J’étais en premier lieu déçu, mais je me rappelle soudainement des cadeaux que j’allais offrir à mes servantes et me dit que c’était une chance. Il est alors 9h48. Je me rends dans le salon et voit que je suis le dernier. Les filles portent toutes leurs pyjamas excepté Sophie, qui visiblement, aime son kimono. Les cadeaux s’ouvraient, les rires sortaient et tout le monde était content. Parmi les cadeaux, on retrouve mes godes, des habits, de la lingerie et des accessoires. Pendant que les filles s’amusent, Sophie tire ma manche et m’entraîne hors du salon. Là, elle me dit : — Maître, je ne vous ai pas encore offert de cadeau. Il se trouve dans ma chambre, pouvez-vous venir ? — Oui, bien sûr. De quoi s’agit-il ? — Vous verrez… Je la suis et entre dans sa chambre. Ce n’est pas la première fois mais je suis toujours étonné de la décoration. On peut voir une chambre blanche, avec des meubles en bois sombre. Seul le lit ressort, dû à une couleur rouge vif. Elle m’entraîne ...