1. Mathilde (6)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Divers,

    ... maximum à la recherche de son bâton de chaire qui trouva de lui-même l’entrée de ma chatte. Arnaud ne dut pas forcer pour me pénétrer tant j’étais toujours excitée par ma pause déjeuner. Il me pilonna comme un forcené. J’haletais sous ses coups de butoir tout en cherchant ses lèvres. Nous échangeâmes un baiser langoureux plein de désir. J’en voulais toujours plus et je voulais qu’il soit d’autant plus en rut. Je me retirai de son mandrin et éteignis l’eau. Nous nous séchâmes avec des baisers puis partîmes dans la chambre. Il remarqua tout de suite le tanga. — C’est à qui ça ? — A Sarah. Elle me l’a donné après que nous ayons baisé ce midi. Sens comme elle sent bon. Il porta le morceau de tissu au nez et inspira fortement. Il hocha de la tête et je vis son sexe grossir un peu plus. Je le repris en bouche, le temps de quelques vas et vient, puis m’allongea sur le dos, jambe grande ouverte. Il vint se placer entre elles et son pénis retrouva le chemin de ma grotte d’amour. Cette fois ci il fut plus doux, prenant le temps que nous sentions nos deux sexes ne faire qu’un. Il buta à l’entrée de mon utérus et repartit tout aussi doucement vers l’entrée de mon vagin. Son sexe ressortit pour entrer à nouveau, trois fois de suite. J’aimais quand il me faisait ça. Je savais que les coups allaient accélérer de plus en plus. Et je ne fus pas déçue. Nous fîmes l’amour pendant le reste de l’après-midi. Arnaud m’avait fait jouir plusieurs fois et lui ne fut pas en reste. J’attendais ...
    ... maintenant que Sarah me raconte son appel avec Mathilde. ____________________________________________________________________________________________________ Sarah Dix-sept heures enfin. Je n’en pouvais plus de cette journée, entre les réunions et les réclamations clientèle. Heureusement la pause du midi avait été bonne et salutaire. Lorsque je sortis de l’entreprise, la pluie avait fait place au soleil. Le vent s’en mêlait également et une bourrasque souffla, je sentis l’air s’insinuer entre mes jambes venir chatouiller mon sexe. Ce fut en courant que je rejoignis ma voiture et m’y engouffrai. Je roulai pendant une vingtaine de minutes pour arriver jusque chez moi. Le temps de la route, la pluie avait redoublé d’intensité et sur les quelques mètres qui me séparaient de l’entrée de ma maison, je fus trempée de la tête aux pieds. A peine entrée, je me déshabillai totalement et mis mes vêtements à sécher. Pour la détente et la piscine, je devrai attendre certainement le lendemain. Qu’à cela ne tienne, j’avais un autre projet. Je devais appeler Mathilde pour avoir des détails sur ses relations sexuelles avec Seb. Je composai son numéro et j’attendis jusqu’à tomber sur la messagerie. Par deux fois je répétai l’opération sans succès. A la quatrième elle décrocha enfin. — Allo ? Qui est-ce ? — C’est Sarah. Comme prévu je t’appelle pour que tu me racontes, ce qui s’est passé avec Seb. — Désolée, je ne peux pas tout de suite. Est-ce que je peux te rappeler d’ici heure ? — On fait comme ça. A ...
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