Big... bang
Datte: 01/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... fesses sont dédiées à son plaisir, que j’aime que ses couilles battent les miennes et que je voudrais qu’il me remplisse de sperme. Les quelques centimètres supplémentaires qu’il m’enfonce, s’il distendent monstrueusement mon ventre, provoque un électrochoc. Il accélère le rythme crescendo, répond à mes attentes en portant davantage ses coups. Ses burnes copulent avec les miennes, j’en crie de plaisir, le ventre en feu, la tête remplie d’éclaires multicolores, submergées par le sentiment de plus être en capacité de gérer. Je ne suis qu’un tunnel de chair traversé par le train du bonheur. Tout s’emballe lorsque mon enculeur crie qu’il va décharger. Sans savoir pour quelle raison, je n’ai alors qu’à agripper fermement mes bourses pour qu’à mon tour je commence à éjaculer, le goût de son foutre intensément présent dans ma bouche. Je tutoie l’orgasme anal, le vrai, sans réellement le savoir. Ses doigts soudainement crispés dans la chair de mes hanches, il me propulse à plusieurs reprises sa turgescence aux confins de mes intestins pour y déverser sa semence en longues giclées. En réaction, je jouis bruyamment sous ses assauts finals, l’anus secoué de multiples spasmes. Il ne m’est pas vraiment possible de ressentir distinctement ses jets de sperme. Mais je perçois très nettement son nœud qui se dilate à chacune de ses salves, immédiatement suivi d’une sorte d’effervescence brûlante, sortes d’étranges gargouillis, comme si des bulles éclataient au bout de sa queue. Au-delà de ...
... ces intenses sensations physiques, il y a surtout cette extrême plénitude, cette béatitude qui m’envahit. Faire l’amour avec une femme, la pénétrer et gérer sa propre endurance pour lui permettre d’accéder à sa jouissance est une chose merveilleuse pour un homme. Mais croyez-moi, pouvoir se libérer mentalement de cette “obligation de résultat” afin de devenir totalement passif (mais certainement pas inactif !), de ne plus aller chercher le plaisir, mais de le recevoir tel un cadeau est une expérience hors du commun, une véritable offrande que nous fait notre partenaire. Il s’immobilise enfin, immense, que dis-je, gigantesque, et pourtant son plaisir continue de se diffuser en moi comme une onde se propageant en vaguelettes à la surface d’une étendue d’eau. Ses doigts quittent mes hanches, redeviennent caressants et parcourent maintenant mon dos. Je me sens soudain incroyablement bien. J’ai joui d’une façon totalement inattendue, incomparable à ce que Stéphane m’avait fait vivre. Je pense avoir été beaucoup plus libéré et disposé ce soir ; j’avais terriblement besoin d’un homme. Les circonstances m’ont permis de l’apprécier, de savourer l’instant. Repus, imbriqués l’un dans l’autre, nous glissons sur le côté, savourant ce calme après ce splendide orgasme. En quelques minutes silencieuses, je le sens retrouver une taille plus raisonnable au creux de mes reins, en appréciant la douce chaleur qui tapisse encore mon ventre, le calme après la tempête, en quelque sorte. Toutes sortes ...