1. Big... bang


    Datte: 01/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... d’enfer, c’était... génial. Merci ! me complimente-t-il en gratifiant ma croupe d’une étreinte. Tu avales toujours ? — C’est moi qui te remercie. Quelle queue ! Elle est vraiment impressionnante et quelles giclées ! J’adore le goût du sperme. Je n’y résiste pas. — C’est vraiment bon de jouir dans une bouche. — Je n’imagine même pas recracher. — Tu n’as pas peur que j’en redemande ? — Pire encore : je n’attends que ça. — Tu me veux toujours chez toi ? Ton cul me donne envie de faire sa connaissance. — Plus que jamais, mais... tout doux. Promis ? — Tu ne le regretteras pas, promis. Nous restons ainsi peut-être encore 10 minutes, pas plus pressés l’un que l’autre de rompre l’harmonie du moment. Il promène ses mains avec tendresse sur ma croupe et le bas de mon dos, alors que je câline son bel organe. Quoi qu’il en soit, nous sommes tous les deux d’accord sur un point précis : notre étreinte ne sera pas complète tant qu’il ne m’aura pas fait jouir en me prenant. La chaudière est en effet toujours en veille au fond de mon ventre, il est temps de renfiler nos vêtements... pour mieux nous déshabiller une fois de plus. Nous allons directement chez moi sans que je récupère ma voiture, je me débrouillerais plus tard. Chemin faisant, j’avoue avoir un peu peur qu’il me prenne. Relatant mon inexpérience, je lui parle de mon dépucelage, de la façon dont Stéphane m’a fait découvrir la sodomie, de sa bienveillance, de la délicatesse avec laquelle il m’a initié. Ce à quoi il rétorque ...
    ... qu’être bien monté n’est pas forcément synonyme de bourrin et qu’il entend bien me donner du plaisir. J’insiste en lui demandant d’y aller doucement. Longtemps s’il veut, mais doucement. Dans l’ascenseur, il se plaque derrière moi en me collant son sexe contre mes fesses en saisissant mon paquet, chuchotant à mon oreille qu’il allait bientôt me faire beaucoup de bien. Même si je sais à peu près avec qui “je monte”, mon cœur bat fort, ma timidité refait un peu surface. Pourtant, je le veux, et le plus longtemps possible ! À peine la porte de mon studio refermée, je lui propose à boire, peut-être plus pour gagner du temps que par pure hospitalité d’ailleurs. Le paradoxe du débutant, “je veux, mais en même temps... j’angoisse un peu !” Un jus de fruit fait l’affaire, je le rejoins sur mon clic-clac et nous sers deux verres. De toute évidence très tactile, il pose sa main sur ma cuisse, certainement un peu pour me rappeler que nous ne sommes pas là que pour trinquer. — J’ai vraiment envie de toi. me lance-t-il calmement. Mais si tu ne te sens pas prêt, je ne vais pas te forcer. Je ne veux que ton plaisir. Et un peu le mien aussi ! Tu voudras encore me sucer, si je reviens te voir ? — J’ai très envie de toi aussi, mais un peu le trac... Tu comprends ? — On va y aller tout doucement, c’est toi qui vas mener le jeu, à ton rythme. Mais tu vas adorer, j’en suis certain. Tu me déshabilles ? Diplomate, psychologue, il sait me mettre à l’aise et contourner les obstacles. Il se cale au fond du ...
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