Si seulement j'avais connu ça avant !
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
extracon,
extraoffre,
Collègues / Travail
grossexe,
revede,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
ecriv_f,
... juste dit que j’avais été méchante. Mais l’assaut final, c’est moi qui l’ai donné. Eric a dû partir trois jours pour visiter, comme souvent, à un autre atelier. J’ai appelé David pour lui demander s’il ne pourrait pas venir monter un meuble, mais qu’il fallait compter la matinée. Il a dit oui sans problème. Le lendemain à huit heures et demi, comme promis, il a sonné. J’étais encore en peignoir quand je lui ai ouvert la porte. On a pris un café ensemble puis je lui ai dit que je montais m’habiller, car ce n’était pas convenable. Il a demandé où était le meuble. Je lui ai dit que, justement, il était dans la chambre et que je l’appellerais lorsque je serais habillée. Je suis donc montée et ai laissé tomber mon peignoir au sol. Je me suis regardée dans la glace et ai pris mes seins en mains pour les palper, en me traitant de salope, de vouloir me faire tringler par un autre, mais j’avais maintenant très envie de lui. J’espérais seulement qu’il baisait bien. J’ai enfilé à même la peau une petite robe à boutons sur le devant et me suis assise sur le bord du lit (pour faire remonter un peu la robe sur les cuisses) qui allait grincer sous les coups de reins de David. Je l’ai appelé. Il n’a pas traîné à monter. Il a jeté un regard dans la chambre sans voir de meuble. — Tu m’as raconté une blague Martine?— Eh ben non David.— Et où est le meuble?— Le meuble à monter, c’est moi.— Mais tu es folle !Je ne peux pas faire ça à Eric!.— Tu es moins fort que lors de la soirée pour Noël : ...
... tu te proposais de me faire passer un bon quart d’heure.— Oui mais je ne le pensais pas.— Et tes pouces sur mes seins, c’était quoi?— J’ai été idiot, j’aurais pas dû.— Maintenant tu peux les prendre, ils ont besoin de caresses. Je lui ai pris une main que j’ai guidée sous ma robe pour qu’il touche mes seins, en lui disant "qu’en bas", il n’y avait rien non plus. Il s’est enhardi, s’est assis près de moi et a déboutonné ma robe pour me la retirer. Il a pu voir ma chatte, qu’il a touchée immédiatement. Elle coulait!!! Je me suis allongée et il a eu tout loisir d’inspecter mon corps, qui n’a pas tardé à se tendre sous ses coups de langue. Il s’est mis nu lui aussi et je me suis retrouvée avec un engin de bonne taille, plus long et épais que celui d’Eric. Je l’ai pris tout de suite en bouche. Il m’a dit que je suçais bien et que je faisais ça comme une pute et, comme j’adore avaler cette liqueur divine, j’ai accéléré les mouvements. Très peu de ce traitement, et j’ai reçu à pleine bouche quatre bonnes giclées. On s’est allongé pour parler un peu et se caresser beaucoup. Il a voulu que je me baise seule sur lui, alors je me suis mise dessus et je me suis laissée descendre sur sa colonne. Je n’ai pas vu la différence de grosseur par rapport à Eric, mais alors en longueur, je le sentais plus profond ! Pendant qu’il suçait mes seins, je me suis mise en cadence pour me pistonner la cramouille qu’il m’emplissait si bien. Par deux fois il s’est vidé dans ma fente. Je n’étais pas fière ...