Hôtel à Saint-Brieuc
Datte: 01/08/2017,
Catégories:
fh,
hotel,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
... son naturel m’étonnent encore. Elle ne prend aucune précaution pour que les mouvements de ses jambes ne révèlent pas, par instants, très nettement le fond de sa culotte, et nous délirons à voix basse : — Tes seins sont superbes ! Tu sais qu’on les voit bien !— Ça n’a pas l’air désagréable à regarder !— Tu as l’air d’une vraie petite pute ! Je suis sûr qu’ils essayent de savoir si tu portes une culotte— D’abord, c’est toi qui m’as rendue comme ça, et ils savent très bien que mon slip est blanc. Ils ne le quittent pas des yeux !— Salope ! Tu es mouillée ?— Je suis trempée, et tu le sais bien ! Tout l’après midi, nous nous promenons, profitant des regards tantôt directs, tantôt discrets et timides, tantôt salaces, mais toujours intéressés des hommes que nous croisons. Durant le dîner, un père de famille, accompagné de sa femme et de deux enfants tente d’observer discrètement Bénédicte, allant jusqu’à laisser tomber sa serviette pour jeter un coup d’œil sous la table. À sa deuxième tentative, je dis à ma compagne : — La prochaine fois, récompense-le, ouvre-lui tes jambes. Elle sourit sans me répondre mais, dès que la serviette du gars tombe, la petite salope écarte franchement les cuisses. Le spectateur a l’air de plus en plus agité, mais il est coincé à sa table. Comme nous arrivons à la fin du dîner, je lui demande sans trop y croire : — Fais-moi plaisir ! Pour lui offrir un bouquet final, je voudrais que tu ailles enlever ton slip ! Elle est bien aussi excitée que moi car, à ...
... ma stupéfaction, elle se lève et se dirige vers les toilettes. Le temps que je demande l’addition, elle est de retour, les joues roses et l’œil brillant. En s’asseyant, elle me sourit et me traite de salaud. Elle se tourne légèrement vers notre admirateur et sans le regarder ouvre un peu les jambes. Je vois l’homme tressaillir, l’air complètement estomaqué. Sa femme va finir par se rendre compte de quelque chose. Béné ouvre franchement les cuisses en me regardant. J’ai l’impression que le type va suffoquer. Puis, brusquement, elle se lève et nous partons sans un regard pour notre victime. Arrivés à notre chambre d’hôtel, nous remarquons la fenêtre ouverte de notre vis-à-vis. Sa lumière est éteinte mais nous devinons sa silhouette. Je suis tellement excité que j’assieds Bénédicte au pied du lit, la renverse et m’agenouille entre ses jambes que j’écarte et pose sur mes épaules. Ses lèvres sont gonflées et luisantes de foutre. Je lui bouffe la chatte avec application, gobant son clitoris, enfonçant la langue dans son trou béant. Elle ondule en gémissant de plaisir. Au bout de quelques minutes, elle me décharge dans la bouche en feulant. Je la relève et, debout devant la fenêtre, achève de la déshabiller. J’aperçois notre admirateur toujours dans l’obscurité. Je lui fais signe de la main. Il comprend et allume la lumière. Il est nu, son sexe tendu à la main. J’attrape un oreiller, le jette à terre et invite Bénédicte à s’agenouiller dessus, face au garçon. Elle se met à quatre ...