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Un patron très attentionné (1)
Datte: 20/06/2017, Catégories: Transexuels
... goût étaient divins et ma situation m’excitait on ne peut plus; rapidement j’ai découvert combien ma langue pouvait donner du plaisir à une femme et manifestement Geneviève était sensible et désireuse. De temps à autre elle m’accordait une petite pause pour me raconter un peu sa vie, elle m’a expliqué que Claude son mari; la délaissait depuis des années, il était plus absorbé par son travail. Bien qu’ayant depuis peu découvert la passion des dessous féminin, j’étais quand même très attiré par les femmes; et je peux vous dire que Geneviève m’attirait énormément. Mon seul problème était ma timidité maladive, je perdais la totalité de mes moyens quand je me retrouvais face à une femme. À chaque fois que la propriétaire me prolongeait la tête dans son minou, elle me disait qu’elle allait faire de moi un expert pour lui donner du plaisir. Je n’étais pas puceau car une cousine s’était occupé de cela mais depuis mon kiki n’avait pas servi pour une femme ni pour personne non plus; seulement la veuve poignet. J’avais 33 ans et voilà une quinzaine d’années que je n’avais pas tiré mon coup; là j’étais devant une bombe qui allait manifestement s’occuper de me faire rattraper tout mon retard acquis. Bien que je sois totalement féminisé en train de brouter le minou d’une femme, j’avais une érection comme jamais je ne m’en étais connue. Son entrejambe était un délice à déguster j’y serais resté des heures tant l’odeur et le goût étaient bons. Son intimité commençait à ne plus avoir ...
... aucun secret pour moi; je commençais même à connaître ses petits points les plus sensibles, sur lesquels je me permettais d’insister bien évidemment. Quand Geneviève a commencé à avoir des petits soubresauts au niveau de ses hanches, qu’elle a commencé à me serrer entre ses jambes; j’ai compris qu’elle allait prendre son pied dans quelques instants. Au bout de 5 minutes elle s’est mise à pousser des cris monstrueux, je venais de faire prendre son pied à ma propriétaire. Là elle s’est allongée sur le lit, elle m’a invité à venir m’allonger sur elle; en tant qu’homme soumis, je ne me suis pas fait prier et me suis exécuté sur-le-champ. Mon sexe était sorti de sa douce prison nommé tanga; en quelques instants mon petit oiseau était positionné à l’entrée de l’abricot de Geneviève. Son petit minou était à nouveau tout trempé c’est là que j’ai compris que Geneviève était en manque de sexe elle aussi. J’étais maintenant sur elle, avec mon sexe position à l’entrée de son vagin; et je savourais ce moment de douceur. À défaut de sentir la douceur de ta peau contre la mienne, je savourais la douceur de nos tissus qui s’entre frottaient. Je découvrais la pointe de ses tétons érigés, mais surtout à ma grande surprise; les miens l’étaient tout autant. Pour la première fois j’embrassais ma propriétaire, c’est elle qui dirigeait les opérations jusque dans ma bouche; et ce n’était pas pour me déplaire. Mes mains ne pouvaient pas la caresser car en fait, elles retenaient mon corps pour ne pas ...