PokémonVR (6)
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
Erotique,
... rêve, alors elle n’aura jamais aucune chance de me battre ! Je te le promets, Ayaka ! Je vais enculer cette garce ! À sec ! Et avec du gravier ! Ayaka ferma les yeux et se leva contre moi derechef. Toutefois, les larmes de tristesse qui arboraient antérieurement son visage semblaient avoir quitté ce monde virtuel. À la place, je sentais qu’elle pensait à nous. Elle pensait au couple que nous formions. Elle pensait à tout ce que nous pourrions faire une fois libérés. Incapable de rester de marbre dans cette situation, je relevai légèrement le visage d’Ayaka et, comme si cela était devenu naturel, mes lèvres se posèrent sur les siennes. Nous échangeâmes alors un baiser torride résultant des émotions extrêmes auxquelles nous étions confrontés. Nos mains se baladaient librement sur nos corps, caressaient librement notre peau, exaltaient librement nos sens. La terreur qui nous avait submergés semblait se dissiper petit à petit jusqu’à ne devenir plus qu’un amas de cendre dans nos cœurs enflammés. Nous nous laissâmes guider par nos sentiments jusqu’à ce que, sans que je ne susse comment, je me retrouvai allongé sur Ayaka, le pantalon baissé. Les hautes herbes n’étaient distantes que de quelques mètres, mais impossible pour moi de contenir cette pulsion animale. Bientôt, mon membre pénétra Ayaka tandis qu’elle gémit de bonheur. Je n’attendis pas et bougeai, tantôt vers l’avant, tantôt vers l’arrière. Ayaka, cramponnée à mon cou, était à son aise en sentant cette présence rassurante ...
... au fond de son intimité. Nous maintînmes cette position aussi longtemps que nous en eussions envie. Ayaka, fut la première à se lasser et, me poussant en arrière, parvint à me faire allonger le dos sur l’herbe. Quant à elle, Ayaka avait ses jambes de part et d’autre de mon bassin. Mon sexe toujours confortablement installé dans sa source intarissable, elle commença de légers mouvements de haut en bas. Ses cheveux bruns volaient dans le vent, lui donnant une magnificence qui m’éblouit presque. Jamais je ne l’avais trouvée aussi magnifique qu’en cet instant. Une déesse parmi les hommes. Se délectant de notre union, elle ôta les vêtements qu’elle portait, ainsi son tee-shirt bleu marine finit au sol, à côté de nos pantalons et sous-vêtements que je ne me rappelais toujours pas avoir ôtés. Elle fit de même avec mon tee-shirt vert et le jeta sur le sien. Nous n’étions plus habillés que de notre carapace naturelle, cette peau qu’Ayaka avait parfaite. Les mouvements d’Ayaka gardèrent le même rythme lent mais intense jusqu’à ce que je décidasse d’attraper ses seins et de les maintenir fermement de mes mains. Ses gémissements ne se firent que plus audibles et excitants. Nos corps, dans cette symbiose miraculeuse, ne demandaient qu’à se libérer du lourd fardeau qui les incombait. Ce fut d’ailleurs Ayaka qui s’en libéra la première ; elle poussa un cri puissant et répondit son liquide sur mon torse. Notre ébat prit alors fin là-dessus. Enfin, c’est ce que je crus. Ayant remarqué que je ...