1. Je suis resté bouche bée (5)


    Datte: 26/09/2018, Catégories: Erotique,

    ... beaucoup plus entreprenante puisqu’elle a défait la fermeture éclair de mon jean pour y sortir mon membre. Celui-ci est déjà en érection. Elle se penche un peu, puis m’administre une fellation. De mon côté, ma main est sous sa robe, je la caresse à travers son string, qui est déjà humide. J’essaye tant bien que mal de lui enlever son sous-vêtement. Elle se met sur le côté pour faciliter cette action, puis se remet à quatre pattes. J’entraîne ses deux jambes de part d’autre de mon visage. A présent, nous sommes en soixante-neuf. Je m’active sous sa robe, je joue avec son clitoris, lèche ses lèvres de haut en bas, je n’en perds pas une goutte. Dans la foulée, je commence à la doigter avec vigueur, le jus de son amour commence à couler, je veux la faire exploser de plaisir. Ce qui ne tarde pas à arriver au bout de dix minutes. Son bassin fait des contractions, mon visage est complètement plaqué entre ses cuisses et sa vulve expulse quelques jets de cyprine. Nous nous redressons, elle semble essouffler, me pousse quand même sur le dos, puis s’empale sur mon membre. Les mouvements sont à la fois lents et rapides. Je sens mon sexe taper le fond de son vagin. Je profite de cette position pour libérer sa poitrine magnifique. Je lui mordille les tétons, action qui semble l’électrisée, puisqu’elle pousse des grognements de plaisir. A présent, elle se retourne, et s’assoit de nouveau sur mon pieu. Cette fois-ci, je vois ses fesses monter et descendre. Elles sont si belles, si douces, ...
    ... que je ne me prive pas de les toucher. Je fais de même avec sa poitrine généreuse, puis je la positionne à quatre pattes. Je lui titille le petit œillet, y glisse ma langue pour la lubrifier un peu plus. Elle trémousse son petit derrière de plaisir. Ce mouvement m’excite énormément, et je n’attends pas plus de cinq minutes pour lui faire une sodomie. Je la prends alors de façon beaucoup plus bestiale. Je lui administre même quelques fessées pour agrémenter cet échange. Anissa pousse des petits cris à chaque fois. Mais je ne m’arrête pas pour autant. Puisque je retourne au fond de sa vulve. Je la prends désormais en levrette. Ses fesses claquent sur le bas de mon ventre. J’espère que ce bruit n’éveille aucun soupçon, nous sommes seuls, mais je ne souhaite pas être vu par un badaud. Anissa devient de plus en plus entreprenante, puisqu’elle a glissé une main sous son corps pour me titiller les testicules. Ce qui a le don de me stimuler plus que de raison. D’ailleurs, je viens en elle au bout de cinq minutes à peine. Nous poussons un cri étouffé de jouissance commune. Puis nous nous allongeons sur le dos. Nous nous rhabillons assez rapidement, puis nous retournons à la voiture. Avant de monter, cette dernière souhaite se rafraîchir à la fontaine d’eau. J’avance un peu devant elle, et je vois comme un papier sur le pare-brise. Il y a une inscription dessus « avec un spectacle aussi joli, lundi, je ne pourrais pas résister longtemps ». Je devine assez facilement qui est derrière ce ...