1. Le déclic


    Datte: 01/08/2017, Catégories: f, ff, ffh, jeunes, copains, vacances, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, Lesbienne

    ... — Je l’ai ! Ouah, elle est sale. Je me trouvais le nez à la hauteur de son anus, troublée. Puis elle bougea vers la table pour s’occuper de nettoyer tout ça, sans plus s’occuper de moi. Je me déshabillai. En enlevant ma culotte, j’y trouvai une humidité proche de l’inondation. Je la pliai avant de la ranger dans mon linge sale, histoire que Corinne ne tombe pas dessus. J’enfilai mon pyjama, puis, elle aussi. On savait qu’on dormait l’une et l’autre à poil habituellement, mais si un enfant devait venir frapper à la porte, la nuit, il était préférable d’être convenable le plus rapidement possible. Puis on se coucha, éreintées. J’eus tout de même du mal à trouver le sommeil. À revoir ces derniers moments, je finis par me demander si c’était Eric, Héloïse ou Coco qui m’avaient perturbée. Je m’endormis. Mais là, je ne dormais plus. Un besoin me tiraillait le ventre. Il fallait que je me masturbe. Déjà que j’étais en manque car depuis le début de la colo, je n’avais pas osé dans le lit, et je n’avais eu aucune aventure avec qui que ce soit. Mais là… Lentement, je passai ma main sous le pantalon du pyjama et commençai à me caresser. Je me rendis alors compte que les images qui me venaient à l’esprit, c’était Héloïse, et encore Héloïse. Prête à accepter la transgression par rapport au fait que je n’avais jamais, jusqu’ici pensé à une fille en me caressant, j’osai un doigt en moi, sûre que, sur ma gauche, Corinne continuait à dormir. Les yeux fermés, j’alternai deux doigts dans mon ...
    ... vagin et un doigt titillant mon bouton, quand j’ouvris les yeux. Je vis alors, dans la lumière de la lune, les yeux de Corinne, à la hauteur de mon pubis regardant alternativement ma main dans mon pantalon et mon visage. S’apercevant que je venais d’ouvrir les yeux, elle me dit, doucement : — Ce que tu es belle quand tu te caresses, Nath ! Je m’arrêtai, la main collée à ma chatte. — Continue, ne t’inquiète pas pour moi. Si tu savais comme j’en ai envie aussi depuis le début du séjour. Je crois que je vais en faire autant, maintenant que je suis sûre de ne pas t’empêcher de dormir. Et elle se détendit, à l’envers dans le lit et fit glisser son pantalon de pyjama. — Mets-toi à l’aise, toi aussi, ajouta-t-elle ! À ce moment, je me dis que j’en avais trop envie et que ce qui se passait m’excitait au plus haut point. Toujours sans avoir rien dit, je fis glisser mon pantalon à mes pieds. Coco posa sa tête sur ma cuisse et ouvrit ses jambes dans une position qui me fit bien comprendre ce qu’elle voulait : qu’on ne perde pas une miette du spectacle. Drôle d’aventure, pensai-je que de se caresser les yeux dans la chatte (ou presque) d’une copine. Me prenant au jeu, je retirai à regret ma main de mon minou pour allumer ma lampe de chevet. — Quitte à regarder, autant voir quelque chose, expliquai-je ! Car je commençais à me découvrir une envie de me montrer, de voir, et cette envie me paraissait bien naturelle quoique, hier encore, cela ne m’aurait pas effleuré l’esprit — T’as raison, ma ...