1. Notre couple à maturité découvre les plaisirs extraconjugaux


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, couple, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, Oral pénétratio, extraconj, cocucont,

    Après avoir dû déménager de nombreuses fois pour cause de travail, nous avons pu passer une dizaine d’années au même endroit durant lesquelles tout le monde dans la famille a enfin pu tisser des liens d’amitié plus stables. Que ce soient nos trois enfants : deux filles ados de 14 et 13 ans avec leurs copines d’abord, puis leurs copains et, inversement notre jeune fils de 9 ans avec ses potes puis ses fiancées. Ensuite, enfin et surtout, nous, chacun de son côté, ma femme avec son association caritative et moi au boulot avant de nous retrouver ensemble à la maison. C’est en effet à l’anniversaire des quarante ans de ma femme, Mylène, que nous avons emménagé sur le Bassin d’Arcachon pour près de dix ans, jusqu’à mes 55 ans, étant de cinq ans son aîné. Notre couple s’est épanoui durant cette période où il a vraiment atteint pleinement sa maturité, chacun de nous deux ayant pu s’ouvrir plus au monde extérieur sans pour autant remettre en cause notre union dont les liens se sont même paradoxalement resserrés quand nous avons compris l’un et l’autre que la jouissance physique du moment pouvait être dissociée de l’amour qui nous unissait plus fort chaque jour. Il me revient en mémoire la première fois, en dehors des fantasmes distillés au creux de l’oreiller pour maintenir une certaine excitation, où nous avons vraiment concrètement abordé le sujet que beaucoup de couples abordent après une dizaine d’années de mariage, d’aller voir ailleurs si le gazon de la voisine est plus fourni ...
    ... ou le manche du voisin plus long et plus endurant ! C’est à mon grand étonnement, Mylène qui relance la discussion lorsque je la prends un soir en levrette. Elle vient au-devant de ma queue lorsque je la pilonne. J’ai les mains sur ses fesses rebondies qui restent fermes sous mes doigts lorsque je tente de les y enfoncer pendant que ses mamelles s’agitent en tout sens. Ses petits seins de jeunesse lorsque nous nous sommes connus ont en effet gonflé au fil des années après ses trois grossesses, laissant apparaître quelques vergetures et de légers plissements sur le ventre me permettant de mieux la saisir lors de l’emballage final en levrette ! Je l’aime dans cette position, la tête dans l’oreiller, le cul remonté, les jambes suffisamment écartées et le bassin creusé pour m’offrir à la vue sa vulve poilue trempée de cyprine et son œillet plissé qui me fait de l’œil, mais dont elle ne m’a permis l’usage qu’une fois lorsqu’elle était pompette et que j’avais un peu abusé de la situation. Mais là, je m’enfonce une nouvelle fois jusqu’à la garde dans son vagin grand ouvert. Elle me lance alors sous forme de défi, chose tout à fait inhabituelle pour elle : — Chéri, tu n’arrêtes pas de me susurrer que tu aimerais me voir sucer un mec pendant que tu me besognes comme une chienne. Je sens bien alors à ta queue qui gonfle que cela t’excite, mais je ne suis pas sûre que si cela devait arriver un jour tu ne débandes pas aussitôt !— Attends Mylène tu es en train de me dire indirectement que ...
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