Dominé, offert, humilié... (1)
Datte: 26/09/2018,
Catégories:
Divers,
... l’intérieur. Il n’est pas très gros ni très grand, et le plaisir procuré par les vibrations facilite son insertion en moi. Il est logé au maximum, me voilà rempli. Elle le pousse bien au fond puis le lâche en me disant "Ne le laisse pas sortir de ton cul salope ! Sinon tu seras punie !". Je me sens excité et en même temps j’ai peur que le vibro tombe sans rien pour le tenir et les jambes écartée. Je le sens glisser lentement vers le bas et mes mains attachées ne me permettent pas de le replanter au fond de mon antre. PAF ! Alors que le vibro tombe par terre, elle m’administre une grande gifle : "Je t’avais prévenu sale chienne !". Elle le ramasse et le remet dans mon cul d’un seul coup sans ménagement. C’est alors que j’entends toquer à la porte. Mon cœur fait un bond. "Qu’est ce que c’est ? ", "Qui cela peut-il être ?" me dis-je intérieurement. Apparemment pas surprise d’entendre quelqu’un frapper, je l’entends se diriger vers la porte. Mon cœur s’accélère. Mais qu’est ce qu’elle fait. Mon esprit de brouille tant le stress monte. Le son de la porte qui s’ouvre, elle prononce un "Bonjour"... j’entends plusieurs voix masculines lui répondre. Deux, peut être trois... elle referme la porte... mon cœur bat la chamade... il va sortir de ma poitrine... je suffoque... j’ai besoin d’air... Je suis nu, les yeux bandés, cagoulé, les mains attachées dans le dos, les jambes écartées, et un vibro logé dans le cul, devant apparemment trois hommes probablement inconnu. J’en ai des ...
... vertiges. Le stress et la pression monte en flèche, mêlés tout de même à une pointe d’excitation... J’entends du mouvement. Je pense qu’ils se déshabillent. Elle passe derrière moi, glisse sa main entre mes fesses, et récupère le jouet qui continuait de vibrer à l’intérieur. Ensuite elle s’approche de mon oreille pour me susurrer " A genoux pétasse !". Mon corps tombe plus qu’il ne s’agenouille, comme aplati par le poids du stress et de la pression. Mais aussi parce que mon corps ne m’obéit plus. Il lui obéit à elle. Elle me détache les mains, faisant redescendre un peu la pression, puis s’éloigne de moi. "La pute est toute à vous messieurs." lance-t-elle à l’intention de ses "invités". J’ai bien compris que, "la pute", c’était moi. Pas "une" pute, ni "cette" pute. "La" pute. Comme un simple outil, un objet auquel elle prête à peine attention. Les hommes se rapprochent de moi, me tirant de mes égarement de pensées. Je sens leurs bites près de mon visage et, instinctivement, je prends la première qui vient en bouche. J’attrape les deux autres de mes deux mains nouvellement libres et je commence à faire "la pute". Je suce avec avidité chaque bite alternativement sans lâcher les deux autres de mes mains. Je les entends gémir et lâcher des commentaires du type "Quelle pute !", "Sacrée bouche à pipe !", "Un vrai trou à bite !"ce qui m’excite de plus en plus. Elle les a bien choisi, leurs bites ont des proportions impressionnantes et c’est un régal. Mon corps commence à nouveau à être en ...