1. On a couché avec Erika de Xstory (3)


    Datte: 26/09/2018, Catégories: Lesbienne

    ... l’ambiance. Attirée comme un aimant, ma main continue son chemin vers la vulve de ma chérie. J’escalade son mont de Vénus lisse et encore légèrement huilé. En cause, l’huile de massage que je lui ai appliquée quand nous nous sommes préparées. Elle nous apporte bien-être et douceur après un bain ou une douche. Mes doigts, arrivés à destination, passent sur sa fente et jouent avec son clito. L’humidité de son con révèle une excitation avancée. Mes doigts pénètrent sa fissure intime, jouent et cherchent un trésor, ce bouton qui fait vibrer et déclenche la production d’endorphines qui, dans un instant, vont l’emporter vers l’orgasme. Je le trouve et le touche du bout des doigts. Elle vibre, ondule, miaule. C’est le moment de changer de position  ; un demi tour, et hop  ! L’histoire se raconte à l’envers maintenant. Nous nous lançons dans un 69 effréné. Dans ces cas-là, les voisins peuvent chanter, il peut tonner, l’immeuble peut s’écrouler, rien ne nous perturbe. J’ai la tête entre les cuisses de ma chérie  ; la sienne est entre les miennes, et nous suçons, léchons avec soin. Les doigts  ? Il faut en mettre un, puis deux. Peut-être trois aussi. Je sens son odeur qui me rend folle. Je la lèche fort  ; elle est aussi folle que moi. Tatiana est en train de m’écarter les fesses. « Mes fesses sont aussi grosses que ça  ? C’est encore la faute à MacDo  ! » Sa langue est au plus profond de moi, enfin, ce qu’elle peut. Je sens son souffle sur ma vulve, ce qui me procure une sensation de ...
    ... fraîcheur. J’en ai oublié Erika. Elle doit se régaler de nous voir nous gouiner… Bah oui, on se gouine  ! Qu’est-ce qu’il est moche, ce mot  ! J’ai chaud  ; je suis en train d’inonder ma Chiwie. Je sens mon fluide couler, je suis au bord de l’orgasme. Je lève la tête pour voir ce que fait Erika : peut-être est-elle en train de se caresser  ? Ou… Mon cœur vient de s’arrêter de battre, et il repart comme un fou, tapant dans ma poitrine fort, très fort. Je secoue Tatiana qui se relève, et là, surprise : Antonio  ! Il est attaché sur l’un des fauteuils, entièrement nu, un bâillon sur la bouche. Il nous regarde avec des yeux exorbités, un braquemart des plus imposants à la verticale. À la vue de la scène, le rouge monte aux joues de Tatiana ainsi qu’aux miennes. Toutes deux à moitié paniquées, nous ressemblons à deux gamines qui viennent de se faire piquer par leur mère en train de jouer au docteur. Rouges jusqu’aux oreilles, nous tentons maladroitement de nous cacher les seins. — Erika, tu ne nous avais pas dit « Quand il dort, il dort  ! »  ? — Pas de panique, les filles. Pour cette fois, c’est pas de bol : il avait soif. Ne me voyant pas à côté de lui, il m’a cherchée, et voilà. Mais… — Tu aurais pu nous prévenir, parce que là… — Tu entends ça, chéri  ? C’est elle qui me viole, ou presque, et ça va être de ma faute  ! T’inquiète, je vais te venger, d’accord  ? Et puis vous, les filles, ce n’est pas la peine de vous cacher : il a vu votre cul, et même plus. Alors bas les pattes, ...