Dans les bois, une allumeuse (Vu sur le net)
Datte: 27/09/2018,
Catégories:
Sexe Interracial,
Je suis une belle black de 35 ans et j'aime bien baiser. Mais je n'ai jamais rien fait de spécial côté fantasme. Cette fois, je voulais passer à l'acte. Cela faisait plusieurs jours que je me branlais 3 à 4 fois de suite.Déjà toute excitée et mouillée car je ne m'étais pas finie cette fois, je décidais de mettre une micro-jupe et un chemisier, ainsi des cuissardes.J'arrivais dans le bois de Boulogne vers 16h et garais ma voiture. J'avais un peu peur de descendre car des gens de bonne famille et des enfants se promenaient. Mais très excitée par ma tenue et par ce vent, je souhaitais tout simplement me promener dans le bois en sentant ce vent sur ma peau.Quand le danger semblait écarté, je descends rapidement de voiture en me disant tu ne peux plus faire marche arrière.Je marche vite puis ralentie en me disant:Cool, t'es pas la seule femme à te trimbaler avec une jupe aussi courte.Je me détends alors et marche mes clefs de voiture à la main.J'emprunte aussitôt un petit sentier: je me sens bien. le vent sur ma peau, la liberté. je mets mes mains dans mes cheveux et souris de plaisir.Un homme me croise alors. Je le regarde à peine. quand il me dépasse, je me retourne: il me regarde et fait demi-tour. il marche hésitant.Je suis alors très excitée: je me penche volontairement pour faire mine de ramasser quelque chose en face de moi. Je ne porte pas de culotte et sais qu'il voit mes fesses. Je mouille et poursuis ma route. Un second homme me croise, me sourit. Je lui réponds à son ...
... sourire plus sûre de moi. Je m'enfonce dans les bois, souhaitant qu'on m'ait repérée et qu'on me suive. J'ai envie d'exciter un homme. Je me dis que si ça se passe mal, si je ne maîtrise plus rien, je prendrai un autre sentier pour les semer.Je continue ma route en ralentissant parfois. personne ne vient. Je suis excitée et déçue. J'ai envie que l'on me suive, j'ai envie d'allumer. Je m'arrête alors un instant en pensant que j'ai peut-être marché trop vite.Alors, le second homme arrive: que faire? Demi-tour? Ou jouer encore un peu? Trop tard, il est là.Bonjour, on se promène.Oui j'adore ça. toute seule sans personne pour m'embêter.Tu as raison, il fait beau. Tu es belle.Il s'agit d'un portugais d'une 50 aine d'années, très quelconque. qu'importe. L'essentiel est que je l'excite et que je me casse après.Je marche alors en me dandinant et me penche pour prendre une feuille, ou plutôt pour qu'il relooke mon cul. C'est chose faite.Oh, t'es bien foutueÇa suffit, laissez moi tranquille. Je me promène disais-je comme une hypocrite;Je n'avais qu'une envie: qu'il me pelotte le cul.T'as raison, il faut en profiter.Alors que je m'enfonce davantage dans le bois volontairement excitée en me disant que personne ne pourrait me voir ni me secourir en cas de besoin.J'avais en effet ce désir d'être suivie par un inconnu, voir importunée. Je mouillais de plus en plus en me disant mais il va me régler mon compte.J'avançais rapidement quand il mit sa main sur mon cul:C'est beau. Fais voir comment ...