1. Comme une entourloupe (2)


    Datte: 27/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Victor est l’un de mes meilleurs amis, un grand blond nonchalant, toujours paré de l’écharpe de son club de foot préféré. Il n’est pas vraiment le fantasme de toute jeune fille, mais quand l’occasion se présente il sait me communiquer son désir de manière très efficace, si tant est que je sois très difficile à convaincre. Il a cette faculté incroyable à faire sentir à l’autre qu’il est quelqu’un d’important. Il deviendra quelques années plus tard un des meilleurs amants que j’ai connu. Victor se déchausse en entrant, comme à nos habitudes. Le t-shirt de Mathias, ma robe ainsi que ma petite culotte sont éparpillés à terre. Ma poitrine encore gonflée par le désir, difficilement contenue dans le soutien-gorge que j’ai réajusté, n’est même pas cachée par la couette. — Math n’est pas là ? Demande-t-il — Non, il vient de sortir par la fenêtre... — Ah ? Okay. Il s’allonge indolemment sur le lit, juste contre moi. Il fixe le plafond sans rien dire quelques secondes, qui dans cette situation me paraissent durer de longues minutes. Je reste également là sans bouger, ne sachant trop que faire, ma respiration ne s’est toujours pas calmée. Une étrange tension envahie la pièce, entre l’excitation et la gêne. Et la frustration toujours. Il se retourne enfin vers moi et brise le silence. — Bon ! Je ne vais quand-même pas te laisser comme ça. — Comment com... Mais il ne me laisse pas le temps d’achever ma question et m’embrasse sans discussion. Un peu surprise mais pas mécontente de ce ...
    ... qui se profile, je passe ma main derrière sa nuque et lui rend son baiser. Sa main glisse sur ma poitrine et agrippe l’un de mes seins. De son index et son pouce il roule et pince le bout de ce sein déjà très sensible, alors que sa langue fouille ma bouche. Mes mains se perdent sous son t-shirt que je finis par lui ôter. D’un geste de la main, j’écarte la couette et l’enjoins à me rejoindre. Il quitte ma bouche quelques instants pour profiter du spectacle puis me rejoint, s’allongeant entre mes cuisses, ses yeux plongés dans les miens. Il presse son bassin contre le mien tandis que je m’accroche à ses hanches. Je l’enserre de mes cuisses alors qu’il dégrafe mon soutien-gorge. De mouvements saccadés, l’empressement, l’excitation, il se frotte sur moi au travers du tissu de son pantalon. La boucle de sa ceinture vient appuyer par à-coup contre mes lèvres en feu. Sa main vient libérer cette ceinture me caressant au passage, et un doigt s’égare dans ma fente, suivi d’un deuxième. Je faufile ma main dans son caleçon à la recherche de sa verge pour lui prodiguer le même traitement que celui qu’il m’offre, et y trouve son sexe long, et plutôt fin, mais tellement raide. Je le masturbe lentement, j’essaie, mais les vagues de plaisirs que produisent ses doigts sur mon clitoris gonflé me font accélérer de plus en plus. Je perds le contrôle. Mon corps se cambre. Mes yeux roulent en arrière. Ma respiration se bloque. Mes mains se crispent. Et ses doigts qui poursuivent leur œuvre avec ...
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