Caroline et son gendre 2/2
Datte: 01/08/2017,
Catégories:
Anal
Mature,
Après être devenue la maîtresse de mon gendre, lors de ma visite à leur domicile, ma fille et son mari sont venus en visite chez moi, à Paris.Ce samedi, ils sont arrivés, Mélodie ma fille avec son petit garçon de 3 mois, et Grégoire son mari. Je l'ai embrassé sur les deux joues sans trouble apparent, m'étonnant moi-même de me contrôler aussi facilement et d'arriver à dissimuler mon trouble et l'accélération des battements de mon cœur.Mon gendre et ma fille forment un beau couple, ils étaient déjà tous les deux bronzés en ce début d'été, ce qui se remarquait d'autant plus que les gens qui nous entouraient n'avaient pas pris beaucoup de soleil.Mélodie s'était bien remise de sa grossesse et avait retrouvé sa silhouette de jeune fille et c'est avec une pointe de jalousie, de regret et de soulagement que je me suis dit que mes relations charnelles avec Grégoire étaient à ranger avec mes souvenirs.Grégoire était très attentionné, avait l'air très amoureux de Mélodie et nos rapports avaient repris les distances normales entre une belle-mère et son gendre et, s'il m'appelait Caroline, il me vouvoyait comme il l'avait toujours fait.Alban, mon mari, s'était pour une fois libéré tout le week-end et nous avons fait visiter Paris à Grégoire, qui ne connaissait que la tour Eiffel et les Champs-Élysées.Le lundi matin, je me suis levée vers 7h30, Alban était déjà parti travailler. Sans faire de bruit, pour ne pas réveiller les dormeurs, je me suis rendue dans la cuisine pour faire du café. ...
... J'avais sur moi une longue tunique m'arrivant aux chevilles et rien en dessous. J'étais en train de mettre en route la cafetière quand j'ai senti deux mains sur mes hanches.J'ai sursauté et me suis retournée. Grégoire était contre moi et avant que je ne puisse dire un mot, sa bouche était collée à la mienne, nos langues se cherchaient tandis que nos salives se mélangeaient.Notre baiser fut bref et interminable à la fois, bref parce que j'en goûtais chaque seconde, la sarabande de nos langues me faisant éprouver un plaisir infini, interminable car mon corps réclamait autre chose en se collant et en épousant celui de mon amant.Grégoire m'a soulevée, m'a assise sur le plan de travail, a retroussé ma tunique dévoilant ma toison et mon petit chat. Il a abaissé son pantalon et sa grosse pine est venue se loger entre les lèvres humides de mon minou.Je me suis penchée en arrière pour m'offrir davantage et j'ai regardé le membre glisser lentement dans mon étui brûlant sans aucune difficulté, comme s'il retrouvait sa place normale.J'ai gémi quand ses bourses sont venues buter contre l'entrée de mon intimité complètement remplie par l'attribut masculin. Grégoire a souri :« Alors Caroline, tu la voulais ma bite, depuis que je suis arrivé, tu n'attendais que ça !.. Moi aussi, d'ailleurs, ils ont été longs ces deux jours passés à côté de toi où je n'avais qu'une envie, celle de te baiser... !– Oui Grégoire, mon chéri, je ne pensais qu'à ça, je me suis caressée tout ce temps en pensant à ce ...