Séduction délicate de la soeur de ma mère (27)
Datte: 28/09/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... toujours la bonne réponse…oh oui…humm…continue mon chéri…hannn ! S’écria-t-elle en recevant deux coup de rein simultanés dans son corps fiévreux. Puis en poursuivant mes mouvements réguliers, ma tante s’agrippa à mes épaules, en vraie petite femelle bien apprivoisée. Ce fut ensuite un accouplement purement physique, silencieux voire mécanique. Nous n’eûmes aucun échange verbal, nos souffles respectifs nous suffirent amplement. Durant de longues minutes, je baisai la petite sœur de ma mère sans relâche, l’entendant respirer profondément. Elle était à moi, disciplinée, devenue la partenaire idéale. A chaque ruade, elle poussait un petit cri aigu, identique au précèdent et force fut de constater qu’elle était bigrement réceptive ce matin-là. Puis notre coït s’amplifia et sous la violence de mes coups, elle me sentit partir vers un monde étoilé. Elle me serra brusquement et me rejoignit dans la foulée à sa façon. — Ouiii…baise-moi fort…hann…hannn… S’écria-t-elle avec ses jambes blanches relevées, garant d’un bel accouplement entre nous deux. — Oh t’es belle…foutrement belle. En pilonnant comme un beau diable ma tante, devenue ma grande femelle bien dressée pour baiser. — Hannnn c’est dingue avec toi ! ….c’est dingue…humm…hummm… Gémit-elle en contrôlant l’orange qu’elle venait de subir, pour ensuite le savourer. — Véro…ma Véro. Répétai, essoufflé, épuisé en étant à la recherche de ses lèvres. — Oh mon Patrick… je t’aime…je t’aime…En plongeant directement sa langue délicieuse ...
... au fond de mon palais. Etendu sur elle, je poursuivis mon baiser avec mon sexe baignant dans sa fente assouvie. Notre étreinte terminée, je filai sous la douche. Sur le point de partir, Véro me fit signe de l’index de m’approcher d’elle. Gardant sa pudeur, malgré le fait qu’elle venait de s’offrir à moi, elle me murmura, dissimulée sous son drap sa hâte de me voir ce soir. Puis elle ajouta, en guise de conclusion, qu’elle me récompenserait dans un sourire aussi coquin qu’embarrassé. Bénie des dieux de la glisse, la côte basque nous offrit tous les types de vagues. La journée fut dédiée au surf, rien qu’au surf. Le temps ne fut guère clément pour la bronzette, mais idéal pour pratiquer notre sport. En fin de matinée, le soleil d’abord timoré prit place définitivement. Le monde sur la plage nous encouragea à fuir les lieux, trop risqués à notre goût. À notre arrivée, toutes les filles furent en bikini. Deux d’entre elles s’affairèrent devant un barbecue réticent au démarrage. Méfiant avec ce type d’engin, Yan décida de les remplacer sur le champ. En unique apéro, le rosé coula à flot et quelques filles déjà bourrées, rigolèrent bêtement à des blagues douteuses. De loin j’aperçus Véro en escarpins, comme les autres nanas. Étant en bikini et le corps luisant de crème, cela lui procura un air fort sexy avec des jambes sans fin et un petit accent de vulgarité. Je matai son cul en le comparant aux autres et en toute impartialité, j’en déduisis que le sien fut le plus beau, le plus ...