1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (27)


    Datte: 28/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... rassurai en lui expliquant la jalousie presque maladie de Sophie, laquelle aurait raconté n’importe quoi pour déstabiliser notre couple. Je rajoutai même que cette remarque était plutôt flatteuse, ce à quoi ma tante me fit un sourire forcé en guise de réponse. Tous les matins, j’avais pris pour habitude de la sauter. Comme un rituel, elle dormait sur le côté et à l’entame de mes caresses, elle se retournait en se frottant les yeux, pour s’étirer lascivement. Ensuite nous échangions un petit baiser, le temps de m’allonger sur elle. Tout naturellement, ses jambes fuyaient sous mon bassin, tout comme le drap qu’elle découvrait. — Bonjour ma Véro. En guidant ma virilité vers sa féminité déjà acquise. — Bonjour…tu viens prendre ton petit déjeuner… En m’enlaçant le cou, tout joyeuse à l’idée de se faire prendre par son jeune neveu. — Oui, c’est celui que je préfère. En débutant ma pénétration dans sa chaleur matinale. — Hummm…je dois t’avouer une chose…maintenant je ne pourrai plus m’en passer…ohhhh j’aime tellement le matin…t’es bien le premier à me sauter à la première heure. Me déclara-t-elle pour enchaîner de longs soupirs. Ma tante usait désormais d’un langage similaire au mien. Durant ces vacances, du matin au soir, nous eûmes des rapports en oubliant les tracasseries du retour. Ce furent des vacances inoubliables avec une Véro insouciante, à l’âme légère. Au retour, nous récupérèrent notre fils en remerciant Patricia, qui nous rappela son invitation pour célébrer ses 50 ...
    ... ans à la fin du mois. Véro lui fit part d’un gros point d’interrogation concernant notre présence. La date étant à cheval pour la garde de ses deux fils, elle ignorait si son ex-mari accepterait de les avoir plus longtemps. Enfin chez nous à Hambourg, je savais ma tante tracasser, du fait de l’appel imminent de ma mère. En effet, le lendemain j’allais souffler mes 26 ans et je m’attendais à un coup de fil de mes parents. Les vacances avaient brisé, du moins pour le moment, les craintes et remords de ma tante. De plus, ayant forcé sur l’aspect plus que sentimental de notre relation, elle se sentait libérée de l’emprise de ma mère. Le fait d’accentuer notre relation, sur le fait qu’elle était ni plus ni moins ma tante l’avait décoincée. Nous étions déjà dans l’interdit, mais lui annoncer que j’éprouvais un plaisir dans nos relations, en rajoutant que cela m’excitait profondément qu’elle fut la sœur de ma mère, l’avait bouleversée au départ. Puis chemin faisant, elle avait avoué qu’elle ne trouvait pas cette idée si farfelue la concernant à mon égard. Le fait d’avouer aimer se faire baiser par le propre fils de sa sœur lui faisait passer une étape supérieure dans notre barrière incestueuse. Il n’y avait rien de malsain, il y avait juste le souhait de dédramatiser la situation. J’avais fait le maximum pour la déculpabiliser, mais la connaissant, je savais au fond de moi qu’elle pouvait se faire retourner comme une crêpe par ma mère, du fait de son statut de grande sœur. Je n’étais ...