1. COLLECTION TABOU. Les Mimosas (4/7)


    Datte: 28/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... que voulais-tu en arrivant, tu parlais de Kevin ? • Il voulait prendre la voiture, ce matin, toujours fainéant se pavanant au soleil, il m’a envoyé, après ce que nous venons de faire et que nous allons faire régulièrement, je vais lui faire un gros câlin ce soir. Je suis de plus en plus piégé, j’espérais m’échapper des griffes de ma bru, mais elle a vu que j’étais accro à ma rousse et qu’elle avait là un moyen de chantage. Pour éviter de penser, je retourne à mes écrits en attendant le retour de ma voisine et maîtresse. Il va falloir que je prenne gare à ma santé, deux femmes dont l'une très jeune à satisfaire, d’autres y ont laissé la santé, je voudrais éviter de finir en faisant un infarctus. Confortablement calé, un verre de whisky à mon côté, je m’y remets. « Je me fais prendre par Nat, entièrement nue, le coin tranquille que j’aie trouvé au bord de la rivière traversant notre propriété nous le permet, mère est dans la même tenue. Je suis appuyée sur le marchepied de notre calèche présentant mon arrière à la verge de Nat qui me pénètre. Mère s’approche pour que Nat puisse lui mettre les doigts dans son vagin, c’est à ce moment que j’entends le galop d’un cheval. Il tourne le coin du chemin avant que nous n’ayons le temps de nous libérer, de toute manière, notre nudité n’aurait rien changé. Je vois père tirer sur les rennes en nous voyant et sauter de son cheval, il pointe le doigt vers moi, ou vers nous, met sa main sur sa poitrine et se met à cracher en essayant de ...
    ... parler. Nous nous remettons en tenue décente, Nat charge père dans la calèche, attache Tonnerre à l’arrière, nous aide à prendre place face à notre malade. Ses yeux nous regardent, en nous lançant des éclairs, mais il est dans l’incapacité de parler et de se mouvoir normalement. Arrivé à notre résidence, Nat le porte dans ses bras jusque dans sa chambre. Le contremaître qui vient de rentrer avec un groupe d’esclaves de notre plantation, récupère Tonnerre et part jusqu’à la ville chercher un médecin. Diagnostique, paralysie générale avec perte de la parole due à un surmenage ou une grande frayeur. Surmenage, baiser une jeune noire à son âge, on comprend, sans oublier mère qu’il continue à punir en la sodomisant, là encore, on comprend, mais frayeur ! Ingénument, je me demande si de découvrir sa femme et sa fille baisant avec un noir surtout en plein jour, n’avait pas été la goutte qui avait fait déborder la baignoire. Mère n’était pas préparée à diriger une exploitation comme la nôtre et comme il avait eu une fille sans queue, c’est moi qui prends la gestion de nos terres et de nos gens, ma première décision est de mettre à la disposition de père une servante attitrée. J’aurais pu mettre à son service Adel, la jeune négrillonne qui a dû être la dernière chatte que sa verge aura honorée, non, j’ai mieux à lui offrir, Mama. Mama la plus vieille de nos esclaves, mais surtout l’épouse du vieux Tom, nul doute qu’elle saura lui rappeler les coups qu’elle a dû voir infligé par le maître ...