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De bien belles vacances (6)
Datte: 01/08/2017, Catégories: Transexuels
... tenter quelques pas. Quelle sensation incroyable d’être ainsi perché, les jambes gainées de résille avec la pression des jarretières en haut des cuisses. Le grand miroir me renvoie mon image. Je suis cambré. Mes jambes sont plus fuselées, mes mollets fermes sont remontés. Je traverse la chambre plusieurs fois. Ma démarche s’améliore. Madame sourit en me regardant déambuler devant elle. — Tu es bien jolie ainsi ma chérie. Tu te débrouilles très bien avec ces chaussures. Pose bien le talon en premier... oui, voilà... regarde au loin... fait comme si tu marchais sur une ligne... Très bien... On dirait que tu en as porté toute ta vie ! Et puis cela a l’air de bien te plaire, ajoute-t-elle en regardant ma queue dressée. Ses précieux conseils me donnent de l’assurance. Mes jambes se croisent un peu, me faisant me déhancher. Mes fesses maintenant plus rebondies avec le port des talons semblent rouler à chaque pas. J’aime sentir le crissement des bas sur mes cuisses et la pression de la jarretière en haut de ma cuisse. Je me regarde avancer dans le grand miroir, posant une main sur ma hanche alors que l’autre vient caresser mon téton. Madame semble satisfaite et vient se coller dans mon dos. Je sens ses doigts parcourir mon dos, puis monter vers mes mamelons toujours plus durs. Tout en saisissant mes tétons entre le pouce et l’index pour les étirer, elle me souffle à l’oreille : — Avec un brin de maquillage sur les yeux... Elle les tire un peu plus fort — Et si je dilatai un peu tes ...
... petites mamelles... tu rendrais fou mon pervers de mari... Hypnotisé par mon image et ses paroles, je me laisse faire, la tête penchée en arrière, les mains posées sur ma tête pour mieux m’offrir à ses caresses. Je sens son pubis contre mes fesses et ses seins plaqués dans mon dos. Cette femme me rend fou... folle... — Viens par-là ma chérie... Elle me désigne la chaise devant sa coiffeuse. Je m’y assois en croisant les jambes, en me tenant bien droit. D’un petit tiroir, elle extrait deux petits tubes de plastique. Ce sont des pompes à téton qu’elle dispose avec dextérité sur ma poitrine. Mes mamelons sont aspirés dans le tube alors qu’elle tourne une vis qui tire sur le piston. Mes tétons avancent tout en provoquant une délicieuse tension. Elle ne s’arrête que lorsque je grimace un peu. — Attendons un peu comme ça. Ils vont encore grossir un peu ! La douleur s’estompe doucement tandis que mes tétons remplissent les petits tubes. Ils doivent maintenant faire près de quinze millimètres de long. On dirait de vrais tétons de femme. Madame se penche vers moi pour m’embrasser sur la bouche. — Sans la pompe, le téton reprendra doucement sa forme mais il sera bien plus sensible... tu vas adorer ! Elle ajoute une légère ombre sur mes paupières puis elle attrape un tube de mascara et peigne mes cils. En quelques minutes, mon regard a changé. Je suis troublé par ce que je vois dans la glace. Je suis sans voix. Madame sourit, visiblement satisfaite de son travail. — Alors chérie ? Qu’en ...