1. Hélène 17 : Le meuble anglais (suite).


    Datte: 29/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Hélène 17 : Le meuble anglais. Mon cul me brule, Je suis si bien - - Chéri, tu ne vas pas t’arrêter ? - - Non, mon amour, tu vas encore souffrir, mais tu vas aimer. Je lui présente les électrodes. Ses yeux s’écartillent, elle sait ce qui l’attend, elle sourit… Doucement, je déplie ses petites lèvres. Hélène respire un peu plus fort, je serre lentement les mâchoires dentées, des petits « aie, aie » me répondent. Je connecte les câbles au boitier de commandes. Maintenant, au tour de sa poitrine. Ses bouts sont énormes, il faut que j’écarte les pinces en grand pour les placer sur ses tétons. Elle glousse, elle aime de plus en plus le travail de ses seins. Je branche les quatre électrodes Récit d’Hélène L’électricité, comme sur la machine. Est-ce que j’aurai aussi droit au double pistonnage ? - - Merci mon amour, j’y pensais depuis si longtemps. - - Ça te plait, ma sultane. Fait-il, en posant sa joue contre la mienne. Je vois son visage dans le miroir. Je suis soumise, heureuse du sacrifice qui m’attend. En fermant les yeux, je me souviens du début de ma séance sur la machine. Et de la proposition de notre hôtesse, qui m’avait terrorisée. - - Pierre, il reste une électrode? - - Oui. - - Ma langue, s’il te plait. - - Mais tu as refusé la dernière fois. - - Ne discute pas, je la veux. - - Mais il faut aussi l’anneau. - - Je veux tout Il se tord sur lui-même, attrape les instruments de mon supplice. Il approche le bâillon en O - - Attends, embrasse-moi d’abord. Fais-je avant qu’il ...
    ... me rende muette. Nous échangeons un baiser passionné. Nous nous désunissons. Je ferme les yeux et j’écarte mes lèvres. Le mors force ma bouche. Je sens la courroie sur ma nuque. Je pousse ma langue en avant. Deux doigts la tirent avec douceur. La pince mord ma chair. J’ai le gout du fer dans la bouche, j’essaie de la rentrer, mais l’électrode la bloque. J’ouvre les paupières, je me surprends dans le miroir. C’est une horreur, ma bouche est déformée par l’anneau, mes lèvres sont tirées en arrière par les lanières de maintien. Mais le pire est ma langue pendante, sur laquelle glissent des gouttes de bave, que je ne peux pas ravaler. Comment m’est venu ce désir d’avilissement ? Pour tout arranger, des larmes me montent aux yeux, mes cheveux degueullent sur mes tempes. Où est passée la belle bourge qui s’accrochait au bras de son amant une heure plus tôt. Et pourtant, je suis heureuse de cette soumission. Un instant passe qui me semble une éternité. Puis la chaleur de deux paumes sur mon cul martyrisé. Mes fesses sont écartées. Enfin la bienfaisante sodomie comme point d’orgue à la flagellation. Je suis pleinement remplie, mon anus délicieusement étiré. J’attends avec impatience le divin pistonnage. Rien. Mon seigneur reste immobile, il se fait désirer. Puis une petite décharge sur mon sein gauche. Ca me chatouille. J’essaie d’onduler malgré mon immobilisation pour me sodomiser moi-même. Une stimulation plus forte, sur ma nymphe. Je me crispe toute entière. Mon anneau se contracte ...
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