1. Une leçon entre le prof et moi


    Datte: 29/09/2018, Catégories: fh, voisins, école,

    ... lui fermais la porte au nez. Puis me mordant la lèvre la rouvrit. Il avait pas bougé a part son sourire un peu crispé je crois qu’il ne l’avait pas vu venir celle là. Il y eut un gros silence ou on se dévisagea ta tension montait moi je me perdais dans ses yeux magnifiques verts… totalement opposée à ma couleur fétiche. J’ouvris la porte en grand et m’effaça pour le laisser envahir mon univers. Son dos était large et je devinais une musculature des plus intéressantes autant sur le plan artistique que personnelle. — J’enlève mes chaussures ? Je hoche la tête, il pouvait les garder mais je ne suis plus connecté a la terre c’est en automatique. — Jolie vue ! plaisanta-t-il en regardant sa classe comme je la voyais. La mer et la montagne n’ont qu’a bien se tenir elles ont une rivale de taille. C’est vrai j’ai l’air bien petite à côté de lui pourtant je fais 1mètre 80! Je me sens excitée, intimidée, et… très excitée. Il découvre mon espace et je me sens faiblir de le voir effleurer mes tableaux chez moi, marcher les pieds nus sur mon tapis. — C’est magnifique. me dit-il sa voix l’est aussi…— Vous aimez vraiment ou vous me flattez ? (c’est ma voix çà ?) Il se retourne vers moi a cette question et moi qui avançait derrière lui me retrouve a buter contre lui. Il baisse la tète vers moi et plonge son regard dans le mien. Dieu je me noie ! — J’ai la fâcheuse habitude de dire ce que je pense avec tout ce que çà peut entraîner…— Dites toujours… J’ai la gorge sèche… je sens mes seins ...
    ... s’alourdir et se tendre vers lui. — j’aime ces tableaux.— Ah. C’est tout ce que j’ai trouvé a dire. C’est nul, mais bon. — pouvez-vous me rendre un service ?— un service ?? il y a vice, la, je crois que l’irrigation de mon cerveau a cessé. Je reprends mes esprits tant bien que mal attendant un peu plus information sur ce service.— Oui… (il sourit) faudrait que vous arrêtiez de troubler mes cours et moi-même par la même occasion. Sur ces mots il se retourne a nouveau mais je perçois a temps la rougeur qui a envahit ses joues. Je suis en position de force et çà je le cogite toujours bien. Je suis troublée malgré tout par son aveu mais je relève. Il ne sortira pas d’ici avant que je le trouble définitivement. Je retrouve mon sourire et ma confiance et entames les hostilités. — pour cela il ne faudrait pas que je sois troublée moi-même dans mon travail. De plus je me suis fait traitée de femme cruelle sur une pancarte si je me souviens bien. Il se retourne doucement et réponds a son tour. — j’écris toujours ce que je pense aussi.— Vous l’articulez toujours aussi ?— Oui et d’autre chose aussi.— Comme ? Il s’approche de moi et se penche sur mon visage avant de murmurer près de mon oreille — j’aime faire ce que j’ai envie au moment ou j’en ai envie. Et là je sens sa bouche dans mon cou et ses bras m’enlacer et ses grandes mains me coller contre lui avec force et douceur a la fois. J’ai cessé de respirer. Ses lèvres chaudes et humides s’empare des miennes et il me donne le baiser le plus ...
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