1. Nos voisins


    Datte: 29/09/2018, Catégories: fh, extraoffre, voisins, piscine, toilettes, intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, confession, québec, entrecoup,

    Cette histoire, si elle n’avait pas eu lieu, eût été un fantasme, mais… ce fut un fantasme qui s’est réalisé. Il y a bien trente ans, oui, nous étions en 1980 ou 81. Ma femme et moi étions tous les deux début-trentaine, un jeune couple avec une fille de sept ans, et nous venions d’emménager dans un nouveau quartier. La rencontre s’est faite par l’entremise de nos enfants respectifs, qui fréquentaient la même école. Étant de bons parents, nous avons voulu valider la fréquentation de notre fille, en rencontrant les parents. Diane, secrétaire, et lui, Caspar, ingénieur suisse italien de naissance. Donc, pas de problème de ce côté. En fait, il n’y eu jamais de problème, aucun. Diane, belle femme assez grande, cheveux courts (je craque déjà), blonde, mince, des petits seins mais fermes, élégante, toujours vêtue de façon soignée, jamais négligée. Lui, un peu plus grand, barbu, début de calvitie, toujours souriant, un peu bourgeois mais à peine, comme elle d’ailleurs. Donc, on se voit à l’occasion, quand nous allons chercher notre fille ou que cette dernière est invitée à dormir chez eux ; ou le contraire, quand leur fille vient passer la nuit chez nous. Bavardage anodin sur la température, les enfants, etc. Par un après-midi d’été, une journée chaude et ensoleillée, nous passons la journée chez nos nouveaux amis, en maillot. Ils sont propriétaires d’un duplex, dans un quartier bien situé, la cour arrière voit une piscine hors sol et une terrasse attenante qui enjolivent cet espace ...
    ... de vie baigné de soleil. Il est très agréable de venir s’y reposer. Les femmes portent des maillots deux pièces, qui ne nous laissent pas indifférents. Je vois du coin de l’œil que Caspar a les yeux sur la poitrine généreuse de ma femme. De mon côté, le maillot plus petit de Diane me permet de fantasmer sur ses seins. J’aimerais bien les toucher, mais là, je rêve… La conversation est agréable, la journée au soleil et quelques boissons rafraîchissantes alcoolisées ont fini par enlever les avant-dernières barrières de gêne. Nous parlons de vacances et d’endroits où nous aimons passer des moments de calme, loin de la ville. Je me permets de décrire un lac dans les Laurentides, qui n’est accessible que par un chemin de terre et une petite île à 150 mètres de la rive que nous rejoignons avec un dinghy, deux ou trois allers-retours nous permettant de transporter la tente et tout le barda. Nous sommes seuls sur cette « île déserte ». J’ose même leur dire que nous vivons nus, car il n’y a personne pour nous voir. Caspar jette un regard vers ma femme et je suppose, à son regard, qu’il aimerait bien être sur place pour voir ma femme nue. Je ne détesterais pas voir Diane dans le plus simple appareil. Ils nous avouent à leur tour avoir déjà fait du camping dans des endroits retirés et s’être dénudés. Viens l’heure du souper, ils nous invitent. Par politesse nous refusons… du bout des lèvres. Leur insistance bien sincère nous convainc. — On va se faire quelque chose à la bonne franquette, ...
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