La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 589)
Datte: 20/06/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... avait posé le plug dans le cul de l’esclave MDE. Il se tenait debout, bras contre le corps, tant l’espace était restreint, son pantalon baissé aux chevilles, sa chemise ouverte était tenue seulement par sa cravate autour du cou. Lui aussi portait une cage de chasteté… - Je crois que tu as déjà fait connaissance avec mon chien, une bien belle salope du même acabit que toi ! dit Marina (puis elle s’adressa à sa collègue, une certaine Elodie) Nous allons enseigner à ces deux chiennes nos bonnes et vieilles méthodes éducatives, avant même qu’elles touchent le sol américain. Je suis sûre qu’elles deviendront très rapidement dociles avec nous ! Marina avait attrapé soumis Endymion MDE par les cheveux et l’emmena à quatre pattes vers le steward enfermé. - Lèche-lui les couilles, excite le, je veux voir sa queue gonflée sous cette merveilleuse carapace de verre, je veux la voir se comprimer contre ces parois étroites, je veux voir et entendre cette salope blêmir et gémir ! Tu entends chien ? - Oui Madame. Répondit calmement soumis Endymion MDE L’esclave MDE ne pensait plus, ne réfléchissait plus, mécaniquement et naturellement il avait adopté sa posture de chien mâle soumis, il léchait ces couilles tenues serrées dans ce cockring étroit, sans se soucier de là où il était, sans se préoccuper ...
... de qui le dominait, peu importe l’environnement, peu importe qu’il soit nu, peu importe le Dominant, il était en transe, terriblement excité à quatre pattes, dans une posture dégradante et humiliante, le cul relevé et les reins cambrés. Il était redevenu ce qu’il devait être, un simple esclave-objet en chaleur. Et pendant que sa langue s’activait, une main cherchait à lui retirer ce plug enfoui dans ses entrailles depuis si longtemps maintenant. L’objet lui fut ôté, ou plutôt arraché, et il ne put contenir un long rugissement lorsque la partie la plus large du plug passa sa rondelle étroite. Son cul resta béant quelques instants, juste le temps nécessaire pour lui enfourner un gode plus long encore, Madame Marina l’assaillait. Installée à genoux entre les cuisses écartées du chien soumis, elle avait ajusté un gode-ceinture à sa taille et se déhanchait furieusement. L’objet entrait et sortait à vive allure, le pénétrant un peu plus profondément à chaque coup de rein. Il haletait, suffoquait, se raidissait, se tétanisait comme s’il allait jouir. Ne contrôlant plus rien, il s’affaissa et s’allongea de tout son long sur le sol. Madame Marina le chevauchait plus violemment encore, assise sur lui, elle lui avait fait resserrer les jambes pour l’enculer plus sauvagement encore… (A suivre…)