1. secrétaire.... mais pas queue (chapitre 1/3)


    Datte: 30/09/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pas gênante, j’ai expliqué à Emmanuel que la vie professionnelle ne devait pas interférer avec notre vie de couple. Il comprenait et tentait de mettre un frein à toutes ces rencontres. Les rencontres commençaient effectivement à s’espacer, mais voilà que Stéphane, quand on se voyait, me faisait de plus en plus de réflexions sur ma tenue, ma toilette, mon décolleté, mes jambes… Il trouvait toute sorte d’excuses pour m’effleurer voire me caresser. Non, s’en est trop. J’explique la situation à mon mari. Ni une, ni deux, celui-ci en arrive aux mains avec Stéphane. Sans vouloir en arriver là, je suis fière d’avoir un mari qui prend ma défense quoiqu’il en coûte. Toute coopération est bien sûr interrompue. Du point de vue professionnel, Emmanuel en est revenu au même point. J’étais un peu honteuse d’être la cause de ce retour en arrière. Du coup, j’essayais d’être encore plus gentille, et surtout je ne voulais pas qu’on ait à revivre ces moments difficiles. J’étais plus câline et sexuellement nous avons essayé des choses nouvelles. Par exemple, alors que nous faisions l’amour tendrement un après midi, je lui ai susurré à l’oreille mon désir de lui tailler une pipe. C’était la première fois que je le faisais, ça m’a beaucoup plus et excité aussi. Sentir ce chibre tendu à l’extrême dans ma bouche, utiliser ma langue pour fouiller chaque recoin de son sexe, le sentir souffler quand je lui mordille le gland…hummm quel délice.Peu de temps après, Stéphane apparait à mon travail, il ...
    ... avait un rendez-vous avec Maître BERTRAND. J’ai été un peu froide, mais suffisamment cordiale et aimable pour éviter de faire remarquer que quelque chose s’était passé. Durant le rendez-vous, Maître BERTRAND me demande de venir dans son bureau. J’entre et referme la porte derrière moi. Il me dit alors :- « Sandrine, êtes-vous satisfaite de votre poste ? »- « Bien sûr, Maître .»- « Alors remontez votre jupe .»J’ai cru que j’allais m’étouffer. Je suis resté là, bête, abasourdie par cette demande inattendue. Stéphane s’était retourné, et je voyais son regard lubrique et amusé, tel un môme faisant un caprice pour obtenir ce qu’on lui a refusé. Comme il voyait que je ne bougeais pas, Maître ajouta :-« Nous voici devant un choix important Sandrine, soit vous êtes remerciée pour vos services, soit vous ajoutez une corde à vos talents. Mais il me faut une réponse immédiatement, ma chère. »J’ai réfléchi vite, à mon Emmanuel, à notre vie si je perdais mon boulot… Il a sacrifié son avenir professionnel pour moi, je peux peut-être faire ça pour nous. Résignée, je soulève ma jupe. J’ai vu le petit sourire humiliant de Stéphane. Il se lève et s’approche de moi. Je ferme les yeux, je sens son souffle dans mon cou, sa main s’insinue dans ma culotte, je me contracte mais ses doigts vont jusqu’à caresser mon vagin. Il retourne s’assoir. Ce moment fût horrible. Maître BERTRAND me dit alors :- « Vous avez fait le bon choix Sandrine. Je suis sûr que vous allez développer des talents qui raviront M. ...