1. Mon homme, mon mâle


    Datte: 30/09/2018, Catégories: hh, hplusag, hsoumis, facial, Oral Gay

    Lundi, 19 h bien passées. Enfin, je reconnais le bruit du moteur de sa voiture dans l’allée de cette chic résidence. Cela faisait bientôt deux heures que j’étais avachi sur le canapé devant les programmes inintéressants de l’après-midi. Mais le voilà enfin. Lui, c’est mon homme, ou plutôt mon mâle. La cinquantaine à peine entamée, il est encore très séduisant. Sa taille et son aisance naturelle lui donnent un charisme évident qui plaît beaucoup aux femmes… aux hommes, à moi tout du moins, jeune et mignon Antillais d’allure fine et d’une grande timidité. Je suis décidément très chanceux. Lui a ce qu’il voulait. Divorcé etfatigué des relations compliquées avec les femmes – ce sont ses mots – il cherchait une relation claire, simple et sans obligation. Dès le début, il a très bien indiqué qu’il ne cherchait qu’une femelle pour s’occuper de lui et le soulager quand il en aurait envie. Ça me convenait… mais déjà depuis quelques temps, je le savais heureux de me savoir chez lui même en son absence. C’était donc le cas ce lundi, grâce à mon emploi du temps léger d’étudiant. Comment nous nous sommes connus et nos premières rencontres seront peut-être l’objet d’un autre récit. Mais déjà la porte s’ouvre. La fatigue de sa journée de travail de cadre sup’ se fait sentir dans ses gestes lorsqu’il pose sacoche et manteau dans l’entrée. Il s’approche et me découvre, comme souvent, en tenue légère, boxer blanc et tee-shirt serré comme il aime. Lui est toujours aussi imposant en costume ...
    ... cravate. À chaque fois, cela me fait de l’effet. Ce soir je le vois particulièrement tendu, le regard dur, il grimace en desserrant son nœud de cravate. Il ne parle pas. Je comprends ce que je dois faire pour le détendre. Je me lève et m’approche, je profite d’un instant où il s’est légèrement tourné vers la table pour m’accroupir. Quand il se retourne, il semble surpris, il devrait pourtant savoir avec le temps qu’il n’a pas à me réclamer bien longtemps. Je passe la main sur son entrejambe, j’y plonge mon visage, je l’embrasse. Je m’attaque à sa braguette, à son caleçon. Enfin je sors sa queue que j’aime tant, si belle, si fière, si virile. Elle est déjà bien bandée, j’ai dû bien l’exciter avec mes caresses… ou bien est-ce la situation ? Encore quasiment tout habillé, juste la queue sortie, il me voit d’en haut lui avaler sa virilité en le regardant dans les yeux. Car j’aime être sa salope dévouée. J’ai les mains posées sur son pantalon, au niveau de ses cuisses que je devine puissantes, et je m’applique à bien serrer son sexe avec ma grosse bouche. Je le sors et lèche le méat, j’aspire son gland et replonge de plus belle sur sa queue. — Doucement. Enfin il dit un mot. Je vais trop vite apparemment. Sa main se pose derrière ma nuque et amène ma bouche très loin vers ses poils pubiens. Il me bloque la tête quelques secondes puis desserre doucement son étreinte et me fait reculer. Il répète l’opération plusieurs fois puis il sort son membre et me soulève le menton avec son index. ...
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