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JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. La suite.
Datte: 30/09/2018, Catégories: Première fois
... il faut que tu lubrifies abondamment ta queue et mon œillet avant de me prendre ! J’avais tout préparé et il s’acquitte minutieusement de cette tâche avant de présenter son monstre à mon petit trou. Il met une main sur ma hanche et je le sens pointer son gland sur mon anus. Je plie les genoux et je sens mon derrière s’ouvrir sous la pression. Jusque-là tout va bien et je me dis… « Détends-toi ma petite. C’est le moment le moins agréable, tu vas déguster mais tu l’a voulue ». J’entreprends l’intromission dans l’anus de son gland .Je me baisse aussi doucement que possible mais je suis si tendue que je ferme le passage tellement j’ai peur qu’il me déchire. Mon Dieu, il est vraiment énorme ! Je sens qu’il s'énerve de ne pas y arriver. La pénétration est plus difficile qu’il croyait. Je ne sais pas si certaines d'entre vous ont tentées une telle expérience avec un pieu si énorme, c’est assez délicat. Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. Jamais cela ne rentrera. Je glisse le bout de son gland sur le centre de mon trou. Je me recule vers ce bélier tendu qui pousse sur mon sphincter pour l’enfoncer. Mon cratère s'élargit quand j’arrive à introduire enfin son gland et que mon anus emprisonne sa queue, il souffle fort et essaie de s'enfoncer plus profondément en constatant. - Comme c’est étroit, putain que tu es serrée par là ! Je sens mes parois s’élargir quand je continue à me baisser et qu’il s’enfonce plus profondément en moi, ouverte comme jamais, ...
... et j’avoue ne pas prendre de plaisir tellement cette intrusion est douloureuse. Sa bite progresse doucement mais sûrement dans mon anus, s'enfonçant toujours davantage. J’arrête la poussée un instant comprenant que je n’y échapperai pas. Mais en même temps, je n’ai pas envie d’arrêter. J’encaisse pour ne pas le décevoir, les yeux larmoyant. Il m’interroge, anxieux : - Julie… tout va bien ? Tu as mal ? Tu veux arrêter ? Je lui réponds dans un long râle : -Ça va aller, j’en ai vu d’autres… Bien que… Ne t’inquiète pas. Le plus dur est fait. Mon corps va enfin connaître la totalité de ton pénis. Mon petit cul va avoir l’honneur de goûter aux derniers centimètres de ton engin ! Il m’encourage : - Allez, tu y es presque ! Après un instant d’hésitation, je recommence à enfoncer sa matraque un peu plus en moi, je suis investie par son énorme verge fichée en moi comme un tuteur m’empêchant de tomber. Les muscles de mon anus doivent céder et laisser entrer en moi la base massive de la colonne de chair, ils se contractent comme pour l’expulser. Je suis paralysée, complètement possédée par cette incongruité qui remonte dans mon ventre défrichant des terres vierges. Je sens mes fesses écraser ses bourses. Ça y est, il est entièrement en moi. Je ne bouge plus, il s’est redressé et a pris avec douceur dans ses mains mes seins pour les caresser tendrement. Petit à petit, la douleur laisse place au plaisir. Au bout d’un moment, je décide de reprendre les choses en main. Je pose mes pieds sur ...