Du sang
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... secret dans ton regard.Cette forme d’exhibitionnisme ne fait pas partie des habitudes de Julie. Je n’ai jamais exigé d’elle une telle atteinte à sa pudeur. Elle pourrait se caresser le sexe lorsqu’elle est seule, elle ne serait pas la seule à recourir à cette pratique solitaire . Mais devant témoin, ce doit -être un comportement trop intime, trop indiscret et trop révélateur des pulsions sexuelles profondes.A ma plus grande stupéfaction, elle prend position. André s’étonne en détournant la tête, de la facilité avec laquelle Julie lui offre la preuve d’amour espérée. Il répond au geste de ma femme par sa propre masturbation, et approche ses yeux. Julie ouvre le rideau: ses genoux se couchent de chaque côté de l’axe de son corps, Par un effet de levier exercé sur les deux fesses sublimes, son sexe s’étale en largeur, fruit exotique fendu en deux.- Tu veux, comme ça?- Oh! Oui, caresse-toi, montre-moi comment tu sais te faire jouir.Ses doigts humectés dans sa bouche se posent délicatement sur le pont de chair qui mène de l’anus au vagin, de l’étoile sombre aux nymphes nacrées. J’ai envie de huer « NON ». Ce n’est pas possible de se dévoiler aussi impudiquement. Mais qu’a-t-il de plus que moi pour obtenir le privilège énorme d’assister à l’étalage de l’âme de Julie. Elle promène l’index et le majeur sur la crête de ses petites lèvres remonte la fente , atteint le bouton de son clitoris le fait prisonnier , le libère et redescend, appuie sur les lèvres, s’enfonce avec hésitation ...
... puis creuse un passage là où la verge repoussera les chairs gorgées de sang. Le trou est esquissé, un doigt disparaît dans l’entonnoir. Commence alors l’incroyable valse des phalanges qui tournent sur la vulve, ouverte , s’enfoncent dans la plaie créée par les pressions et mouvements circulaires.- C’est merveilleux, je vois combien tu m’aimes. Ta figure devient toute rouge, ton front se couvre de perles de sueur. Tu as bien mérité que je te prenne et que je complète la joie dont tes yeux se troublent. Pose ton pied gauche à terre, je viens , je pose mon bâton magique , Julie ouvre-toi. Que sens-tu?-Je le sens enfin pousser normalement à l’entrée de mon vagin, oh, oh.- Voilà, tu n’as plus à avoir peur. Je suis un homme, un vrai, ma lance entre, progresse dans ton vagin trempé, glisse, gagne du terrain. Lâche ma queue, laisse moi te pénétrer jusqu’au fond. Me sens-tu bien ?- Oui, moi aussi je suis normale. Ce n’est pas une découverte, j’avais l’habitude. Oui, c’est bon. Ne parle pas, baise-moi. Ah!- Tu n’es pas satisfaite, je ne te prends pas aussi bien que les autres?- Quels autres, je n’ai eu qu’un homme avant toi.- Une belle femme comme toi ? Ne raconte pas, les occasions ne t’ont pas manqué. Jamais ? Cachottière.- Tu me vexes. Je ne suis pas une salope. J’aimais Jean.- Ah , qui c’est celui-là. Ton mari s’appelle aussi Jean ? Étrange, hein, c’est aussi le prénom d’un excellent ami à moi. Il se réjouirait de voir mon bonheur actuel. Nous faisons du footing ensemble. Il a un air ...