Astronome à mateur - Partie 1
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
fgode,
pénétratio,
... à mes oreilles, Julie apprécie, mes doigts trouvent un sexe humide et chaud, des lèvres déjà bien déployées. — On dirait qu’il n’y a pas que la mademoiselle Chopussie qui est excitée, dis-je en appuyant mes caresses.— Mmhhh… En même temps qu’elle me répond par ce grognement, ses jambes s’écartent un peu plus, facilitant encore plus mes caresses. Ses yeux ne quittent pas pour autant l’écran où Catherine continue à maltraiter son popotin. Mes doigts se font de plus en plus insidieux, jouent avec son petit bouton, pénètrent à l’intérieur, ressortent couvert de sa liqueur pour mieux reproduire les mêmes caresses. Trop absorbé à donner du plaisir à Julie, je ne vois qu’un peu plus tard que Catherine a changé de position. Elle est de nouveau face à l’écran, les jambes reposant sur la table devant elle, bien écartées, offerte en pâture à ses regards invisibles, combien ? Des dizaines ? Un seul ? Elle a fait glisser sa nuisette sur ses bras et découvert sa somptueuse poitrine qu’elle caresse, triture, tirant sur ses bouts dont la taille est maintenant impressionnante. Sa bouche est entrouverte, ses jambes écartées laissent voir un sexe en éruption, enfin c’est peut-être plus mon imagination. À côté de moi, Julie se déchaîne. Je ne sais pas si c’est la qualité de mes caresses ou la vue de Catherine jouant avec ses seins, mais son corps ondule désormais. Des cris de plus ne plus rauques et bruyants se font entendre. Son bassin s’agite d’un mouvement de va-et-vient de plus en plus ...
... intense. — Ahhh… Ahhhhhh… Elle vient de lâcher un cri puissant, suivi d’un autre, elle jouit. Impossible à rassasier, son bassin se trémousse encore, ponctuant chaque mouvement de nouveaux grognements. Mais elle n’a d’yeux que pour ce qui se passe de l’autre côté de la rue, aucun pour moi. Si bien que je quitte des yeux Julie pour voir ce qu’il se passe en face. Catherine a lâché sa poitrine, qui trône toujours ferme, les tétons dressés, par-dessus sa nuisette. Elle a dans les mains un godemichet d’aspect métallique et lisse. On dirait une grosse balle. Elle joue avec, autour de son sexe, puis le plonge à l’intérieur, facilement, profondément. Elle doit mouiller comme une folle pour se pénétrer aussi aisément avec ce sexe de métal. Julie me murmure à l’oreille. — À ton tour… Elle m’enjambe, place son bassin au-dessus du mien, saisit mon sexe raide comme de l’acier et me laisse la pénétrer. Il ne faut que quelques mouvement de nos bassins mutuels pour que je jouisse à mon tour, trop excité pat cette soirée pour endurer plus longtemps cette overdose d’érotisme. Je ne sais comment, mais nous retrouvons par terre et Julie s’emploie à me redonner une deuxième vigueur, ce qu’elle réussit à faire et nous mène bien plus tard dans nuit. Nous oublions enfin le show de l’autre côté de la rue. Le lendemain matin, nous nous réveillons assez tard, la nuit fut longue. Nous affichons tous deux des mines réjouies, notre esprit baigne encore dans les souvenirs de cette fantastique soirée. ...