Astronome à mateur - Partie 1
Datte: 30/09/2018,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
fgode,
pénétratio,
... chez elle une crise de jalousie aigue, voire agressive, mélangée à une forme de passion. Le cocktail des deux est parfois assez drôle. Dans l’appartement, la femme se penche en avant pour tripoter un ordinateur portable posé sur une table basse qui est devant la porte-fenêtre. Sa poitrine ressort encore un peu plus de son soutien-gorge, ballotte un peu lorsqu’elle utilise le clavier. C’en est trop pour Julie. — La salope, elle a une sacrée paire de lolos. Je vois que ses yeux brillent, elle est aussi fascinée que moi par ce qu’elle voit. Du coup l’explication sur le pigeon insomniaque et la lunette passe sans discussion. Plus d’une aurait émis de gros doutes sur la véracité de mes dires en me surprenant devant un tel spectacle. Je tente même d’enfoncer un peu le clou. — Je devrais bloquer la lunette un peu mieux, des fois que ce con de pigeon revienne sur son perchoir et qu’on perde la vue.— Ouais, t’as raison, ah merde, elle se relève. Décidément elle est mordue. Un coup d’œil à l’écran me confirme que la femme s’est relevée et marche dans son appartement, le téléphone toujours à la main. Je remarque aussi une webcam sur le haut de l’écran du portable, madame est moderne. Je me demande si quelqu’un est de l’autre côté de cette caméra, un membre de sa famille peut-être pour se montrer ainsi en petite culotte. Je file à la porte-fenêtre, note la position de la lunette et bloque les vis de fixation. Je regarde aussi en direction de l’immeuble d’en face pour bien repérer ...
... l’appartement où le spectacle est si passionnant. Avec de simples yeux humains, c’est beaucoup moins facile, beaucoup de fenêtres sont allumées. Je distingue bien quelques formes humaines derrières certaines mais… il faut que je m’aligne sur l’axe de la lunette pour trouver ma cible. Oui évidement, c’est l’une des fenêtres qui n’a pas du tout de rideau. Je vois la silhouette de la femme au travers de la vitre mais d’ici rien de très excitant, impossible de deviner comment elle est habillée, ou plutôt déshabillée même de savoir si c’est elle ou il. Je cherche des points de repère, quatrième étage, juste sous le balcon qui est rempli d’arbustes et de plantes, facile à retrouver. Avant de repartir, je tire un peu les rideaux pour ne laisser qu’une fente pour le télescope, on ne sait jamais. Je reviens aux côtés de Julie qui est toujours aussi scotchée à l’écran. Visiblement la femme d’en face, je ne sais pas comment l’appeler autrement, est son type. — Elle est plutôt bien foutue, dis-je pour voir sa réaction.— Ouais, elle est bien gaulée.— C’est trop drôle, t’as l’air plus excitée que moi.— T’es gonflé, qui c’est le voyeur que j’ai surpris en train de mater sa voisine ? Notre discussion s’arrête là car la femme vient d’enlever son chemisier, elle marche en nous tournant le dos se dirigeant vers le fond de la pièce. Elle a aussi un sacré cul comme me le laissait espérer ses hanches à la Marilyn. Malheureusement la vue ne dure pas longtemps car elle quitte la pièce. La fenêtre d’à côté ...