1. Astronome à mateur - Partie 1


    Datte: 30/09/2018, Catégories: f, fh, ff, fplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, fgode, pénétratio,

    ... mains se glissent dans son dos, dégrafent le soutien-gorge, elle joue des épaules pour faire glisser les bretelles nous laissant ainsi admirer son dos nu et… l’obscurité. Elle est sortie de la pièce et a éteint la lumière, l’autre fenêtre à côté est toujours allumée, sa chambre certainement, elle doit être là. L’excitation qui était montée aussi bien chez Julie que chez moi est palpable tant nos souffles sont courts. Quelques secondes d’espoir et : — Je crois que c’est fini.— Pour aujourd’hui, dis-je, montrant ainsi ma volonté de remouler le spectacle dès que possible.— Pas sûr, me répond Julie les yeux brillants. Nous sommes tous les deux chauds comme des braises, lorsque sa main se pose sur mon entrejambe gonflé, je n’ai plus de doute sur la suite des événements. Le lendemain, je pars au boulot non sans jeter un œil au télescope, mais rien, le jour est à peine levé mais pas de lumière. Cette journée de jeudi me semble horriblement longue. 17 h, enfin je peux m’échapper. Julie finit un peu plus tard, aussi je suis seul à l’appartement pour un peu moins d’une heure si elle rentre directement. La première chose que je fais est d’allumer mon ordinateur pour vérifier que la lunette est toujours bien réglée, non pas sur le ciel, bien sûr. C’est le cas mais il fait encore jour et il n’y a rien de spécial à voir, une grande baie vitrée dont les reflets laissent voir plus ou moins bien l’intérieur. Pour passer le temps, je repasse les images prises la veille, m’attardant sur celles ...
    ... que je trouve les plus excitantes. Finalement sa poitrine m’excite autant que son cul. Julie arrive alors que suis en train de me rincer l’œil. — Pfff, déjà au boulot, tu t’échauffes pour ce soir ?— Je… regardais juste si les images d’hier soir étaient bien sauvegardées, je n’avais pas vérifié, dis-je un peu gêné.— Cette salope a quand même de sacrés nichons, dit Julie que la jalousie rend acerbe comme souvent.— Mmmhh… L’image qui s’affiche sur l’écran, la femme penchée en avant sur son ordinateur ne peut que confirmer les mots de Julie. Je n’ose pas en faire de trop sur la poitrine de peur de m’attirer les foudres de mademoiselle-la-complexée-des-nichons. Néanmoins son regard est, comme hier soir, collé à l’écran. Toujours ce mélange paradoxal de jalousie agressive et d’attirance physique. J’ai toujours du mal à saisir comment fonctionne Julie dans ce domaine-là, j’ai pas tout lu Freud. La nuit tombe mais sans pour autant mettre de l’animation de l’autre côté de l’avenue. J’ai laissé tout mon matériel en état de veille et je jette régulièrement un coup d’œil aussi bien par la fenêtre que sur l’écran. 22 h 30 la lumière se fait enfin, au quatrième étage : — Ça s’allume, dis-je— Tu vois quelque chose ? Julie qui regardait la télé me rejoint.— J’y croyais plus pour ce soir. La femme apparaît dans notre champ de vision, habillée, malheureusement. Elle est cependant très sensuelle, elle porte une jupe noire courte au-dessus de bas noirs et un top rouge brillant particulièrement ...
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