Le quasimodo des temps modernes
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... cuisses libres de tous mouvements se frottent, se serrent, s’ouvrent, se relèvent, d’où je suis placé je peux discerner une tache qui s’agrandit sur le string bien renflé, nous pouvons passer a l’étape ultime, je lui parle comme si s’était moi l’auteur des effleurements qu’il produit a présent sur le haut de son string - Mes caresses vous font du bien ? - Hooooouuui je voudrais plus … - Patience, soulevez votre petit cul je vais descendre votre culotte - Hhaaa enfin !! Un mince trait de poils bouclés bonds apparait sur le mont de vénus, les lèvres encore closes sont aussi lisses que ses genoux, sa respiration se fait plus pressée, ses seins se soulèvent, comme j’aimerais caresser et lécher ce jeune corps surtout que sous mon kimono c’est la tempête … - Séparez vos jambes … encore plus, je veux voir vos deux trous - Je n’ai jamais exposées mes parties intimes aussi effrontément à personne … - Faites-le pour moi … - Avec plaisir, voilà … - Votre petit abricot est adorable, vous êtes très humide - Humide n’est pas approprié, je suis en eau a l’intérieur - Relevez vos genoux je vais vous lécher N’y tenant plus c’est ma bouche qui se ventouse a ce fruit gorgé de sève, ma langue se fraie un passage dans la fente qui expulse sa cyprine - Que c’est boooooonnnnnn, mais je n’avais pas remarqué que vous étiez aussi mal rasé ??? - MMMMMUUUUMMM …… ça vous pique ? excusez-moi, êtes vous d’accord pour que je vous prenne maintenant ? - Haa…. J’ai peur de m’évanouir comme maman … - Rassurez ...
... vous je vais être très doux Léa - C’est frustrant de ne pas pouvoir vous toucher et en même temps c’est très excitant de ne pas voir venir les attouchements - C’est mieux ainsi, relevez vos jambes je me mets en position Mon employé devient fébrile, entièrement nu il se met a genoux devant le calice qui va accueillir sa queue effilée plaquée sur son ventre, pour qu’elle ne découvre pas la supercherie il a pour consigne de ne pas coller son corps a celui de la jeune vierge, sa bite se glisse entre les lèvres mouillées … - Je peux y aller ? - HHOOOOOOOUUUUIIIIIIIIIIHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ????????? Dés la pénétration totalement accomplie les traits de son visage sont dubitatifs, je comprends qu’il vient de décharger dans le vagin tout neuf - C’est déjà fait ? - Oui pourquoi ? vous n’êtes plus vierge - Maman m’aurait donc menti ? - Ha ? concernant quoi ? - Elle m’a acertainé qu’à chaque pénétration elle se trouvait mal de bonheur - Je ne comprends pas... - Détachez-moi ! ôtez-moi ce bandeau, si vous m’avez escroquée mon père vous fera payer ça très cher - Calmez-vous mademoiselle - DÉTACHEZ MOI !!!! - Comme vous voulez … - Hooooo mon dieu quelle horreur ! que vous été moche ! - Vous comprenez pourquoi c’est mon employé qui vous a déflorée - Mais je suis venue pour votre membre… montrez le moi … - Non, ça va vous traumatiser à vie - C’est à moi d’en juger, maman n’en est pas morte ! - Alors je vais satisfaire ta curiosité malsaine Léa… - je le trouve très beau …très gros …très ...