1. Fantasme de voyeur


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fhh, jeunes, ascendant, voisins, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fsodo,

    J’ai toujours aimé le sexe. Cet aveu peut paraître surprenant pour une femme de vingt ans mais c’est une réalité. D’ailleurs je n’ai pas honte. Il faut juste être prudent car si on parle de sexe partout, il n’est pas bon de s’afficher. Chez lespeople peut-être ! En tout cas pas dans ma famille. La première fois, j’avais quinze ans et cela m’a servi de leçon car le garçon s’en est vanté. Depuis, je suis très discrète. Je ne veux pas me faire cataloguer dans la catégorie de « celles-qui-couchent ». Maintenant c’est plus facile. À la fac, je n’ai plus ce genre de problème. Comme je vis toujours chez mes parents, tout se passe ailleurs. Il ne m’est jamais venu à l’idée d’amener un copain chez moi. Oh, mes parents ne m’ont jamais rien dit, mais à part une mise en garde de ma mère sur le sida et les risques du sexe, le sujet n’a jamais été abordé. Ce soir-là – il est bien trois heures du matin – Greg et moi sommes en route pour son appartement lorsqu’un couple sort d’un porche juste devant nous. Je suis tout étonnée de reconnaître mes parents qui s’éloignent pour monter dans leur voiture. Ce qui me surprend, c’est que mon père porte un sac de voyage à la main. Curieuse, je retourne sur mes pas pour retrouver le porche d’où ils venaient. Manifestement c’est une boîte de nuit. Il est juste indiqué « Chez Amiguaelle – Club privé ». Cette rencontre me turlupine et, à peine arrivée chez Greg, je me renseigne sur le Net et quelle n’est pas ma surprise de constater que c’est un club ...
    ... échangiste. Ce n’est pas possible ! D’accord, ils sortaient de là, mais il doit y avoir une raison. À la maison, je n’ai pas souvenir d’avoir vu mon père ou la mère autrement qu’habillés ou au pire, en peignoir. Mieux, au début de ma sexualité, il m’arrivait de surveiller les bruits qui provenaient de leur chambre. Rien. Rien non plus lorsque je fouillais leurs affaires à la recherche de « je ne sais quoi ». Il y avait bien ce placard fermé à clé dans leur salle de bain, mais ils m’avaient bien indiqué que c’était pour les médicaments. Ce placard je l’ai ouvert, après des ruses de sioux pour subtiliser les clés, le temps de faire un double. Et là, le ciel m’est tombé sur la tête. Des robes, des chemisiers, des jupes, de la lingerie, des accessoires sexuels et même des liens et des menottes. Tout le parfait attirail de la séductrice et d’une vie de couple animée. Même avec tout cela sous les yeux, je ne pouvais imaginer ma mère, d’habitude toujours très BCBG, portant ces tenues. Alors, tout en essayant de ne pas changer mes habitudes, je les ai surveillés et un mois plus tard j’étais derrière eux lorsqu’ils ont franchi la porte du club. La preuve est là. Ils sont échangistes, eux ! Incroyable ! Inimaginable ! Impossible ! Il n’existe pas de pire aveugle que celle qui ne veut pas voir. J’ai compris. Mon père est médecin, ma mère infirmière. Ils sont là pour leur travail. Je pense« Idiote, il faut savoir. Entre et tu sauras. » Je sonne à la porte. Un cerbère ouvre un judas. — C’est ...
«1234...10»