1. Une première (2)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... elle s’est mise à me parler au féminin, c’est un truc qui me faisait fondre. Elle m’a aussi dit qu’il serait bien qu’elle me retrouve un étalon pour que je me fasse saillir régulièrement devant elle et avec elle. Le programme qu’elle m’annonçait était tout aussi coquin voire aussi hard qu’il y a 6 ans, je vais vous avouer qu’à l’époque je ne m’en suis jamais plaint et même peut-être que j’en redemandais. En fait la cochonne qui est en moi s’était mise en sommeil pour 6 ans et Christine venait de la réveiller en un rien de temps. Toute la soirée je me suis retrouvé à lui manger son petit abricot et lui bouffer son petit cul. Pour mon plus grand plaisir Christine avait fait attention à ne pas nettoyer son abricot quelque jours pour que ce soit moi qui m’en charge. Ce dernier avait un goût et une odeur inimitable et qui m’excitait au maximum, il va de soi que la culotte que je portais était une qu’elle avait porté deux jours durant où je sentais très fort la femelle désireuse. Grâce à Christine entre temps j’avais retrouvé une petite habitude de femelle en chaleur prête à tout pour donner du plaisir. Le côté débridé et surtout dominant de Christine me plaisait énormément, elle n’avait pas changé sur ce plan-là. Je ne sais par quel miracle, quand je l’ai pénétrée, il m’a semblé constater un rétrécissement de son vagin et du coup un plaisir augmenté lors de la pénétration. Son vagin avait rétréci mais toujours aussi bien lubrifié et aussi goûteux. Ce soir-là, le soir de nos ...
    ... retrouvailles, vu de l’extérieur c’était deux femmes qui baisaient entre elles, mais de l’intérieur c’est moi qui donnais du plaisir à Christine. Il n’y a pas à dire tous les frottements de ces textiles, les uns contre les autres, me chauffaient au maximum. Les mains de ma partenaire me caressaient une bonne partie du temps, le dos, les flancs, les cuisses; en gros toutes mes zones érogènes, mais par moment il lui arrivait de me griffer. J’adorais le traitement qu’elle m’infligeait, j’étais vraiment à elle pour lui donner du plaisir et me laisser faire. Plus j’y pensais et plus je me disais que cela m’avait manqué d’être sa chienne les weekends. Vu comment elle m’a chauffé j’ai été relativement rapide à partir en elle; mais heureusement je ne fis que la devancer de quelques secondes. Ce vendredi soir nous nous sommes endormis après l’amour sous les draps qui sentaient le sexe, masculin et féminin. Le hululement des chouettes m’ont aidé à m’endormir. Dormir en femme c’est une habitude que j’avais pris avec elle et il m’arrivait encore de temps à autre à la maison de faire cela car je m’étais monté une petite garde-robe personnelle. Sentir les fesses parées d’une douce culotte glisser sur la douce longue robe tout ceci sous les draps. Quand en tant qu’homme, on découvre cette sensation; ensuite on ne peut plus s’en passer. Le pire c’est que même aujourd’hui, je prenais grand plaisir à aller travailler avec ou une douce culotte ou un collant en lycra ou un body en lycra voire même une ...