1. Ma drole de famille (14)


    Datte: 01/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Je suis obligé de le saisir avec la main gauche pour le mettre de côté et libérer le passage. Quand je le lâche, il se redresse d’un coup pour se dresser à la verticale. Je dégage le bermuda, en redressant la tête pour me lever, je me trouve juste en face de ce sexe monstrueux dressé orgueilleusement. –C’est tentant hein ? Elisa me regarde, je comprends qu’elle me laisse toutes latitudes pour la suite des évènements. N’y tenant plus, je m’empare de cette bite énorme des deux mains et pose mes lèvres sur son gland. Je donne quelques coups de langue, suce le bout, mais, comme avec Michel, je ne peux l’engloutir tellement il est gros. Je me lève, Henri me prend dans ses bras et me serre contre lui pour m’embrasser. Nos langues dansent la samba dans nos bouches. Je sens cette bite gigantesque contre mon ventre. Elisa vient derrière moi pour se plaquer contre mon corps et me caresser les seins. Elle ondule dans mon dos, je sens sa peau glisser sur la mienne, mon excitation monte d’un cran. Henri me prend par les fesses et me soulève. Je passe mes bras autour de son cou et tire dessus pour lui faciliter la tâche. Elisa m’écarte les jambes au maximum de mes possibilités. Quand elle voit que je suis assez haute, elle glisse sa main sous mes fesses pour s’emparer de la verge de son mari et la diriger vers ma vulve. Quand il sent son gland contre ma chatte liquéfiée, Henri me laisse descendre doucement et une nouvelle fois, je sens mes lèvres s’écarter pour laisser le passage à cet ...
    ... énorme gland qui m’écartèle la vulve. Je remonte les jambes pour ceinturer la taille d’Henri et ouvrir au maximum mon sexe. Elisa me maintient en place tout en me caressant les fesses. Le mandrin entre doucement dans ma chatte et finit par buter sur mon col. Il est au moins aussi long que celui de Michel, je suis incapable de dire lequel est le plus gros ou le plus long, ils sont pour moi identiques, et me procurent le même plaisir. Henri me fait monter et descendre sur son sexe à un rythme soutenu, Elisa me caresse sur tout le corps, elle me caresse les seins, me pince les mamelons, ce qui m’excite encore plus si c’est possible. A ce rythme, je ne tarde pas à jouir en me liquéfiant sur ce sublime vit. Henri continu un peu mais ne jouit pas. Je redescends sur terre doucement, Henri me remonte au maximum pour se dégager et me pose par terre. Je suis un peu chancelante, et il est obligé de me maintenir pour m’empêcher de tomber. Elisa se penche à mon oreille. –Qu’est-ce que ça fait de se faire défoncer par un tel engin ? –J’adore et j’en redemande. –Ne t’en fais pas, tu en aura encore, à moi maintenant. Elle se jette sur lui, s’accroche à son cou, se plaque contre lui les jambes ouvertes au maximum. –Laure ma chérie. Je comprends la demande, je me saisis du sexe d’Henri et le positionne entre ses cuisses, juste à l’entrée de son vagin. Elle se laisse descendre pour s’empaler sur son sexe toujours fièrement dressé en lui ceinturant la taille de ses jambes. C’est elle qui mène le ...
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