C'est mon tour
Datte: 02/10/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
pénétratio,
confession,
extraconj,
Mon mari et mon beau-père sont partis en France.Je m’ennuie, alors je cherche à rencontrer l’homme à tout faire pour qu’il me donne du plaisir. Mais la nuit dernière, j’ai surprisLala, ma belle-mère en pleine jouissance avec lui. Je regarde Lala, elle était pas bien du tout. Elle pleurait. J’ai peur qu’elle tombe malade, ou même qu’elle fasse une dépression grave ou un arrêt cardiaque. Je pense aux conséquences, que va dire Sidi ? Je regrette beaucoup ma conduite : elle qui a été toujours gentille avec moi, généreuse, adorable. Après tout c’est une femme qui est en gros manque, peut-être plus que moi. Je me suis fait bien baiser l’autre nuit. Je suis sûre que même elle m’aurait vue, elle m’aurait rien dit. Je m’assois à côté d’elle, je la prends dans mes bras, je la serre très fort contre moi et je pleure avec elle. Je lui demande pardon, je lui embrasse la tête et les pieds. Je la prends, je la mets sur le gros matelas et je prépare le café et les gâteaux. Elle pleurait toujours. J’amène un gant, je lui lave le visage et l’essuie. Je lui demande encore pardon et je la serre contre moi. Son cœur battait moins fort, elle allait un peu mieux. On reste longtemps assises. Je lui dis : — Personne ne saura jamais rien. Vous avez raison, nous sommes seules toutes les nuits. Nos maris nous délaissent toutes les deux. Notre ouvrier lui aussi est seul. Je fais la sainte nitouche : — J’ai vu sa verge, j’ai peur qu’il me déchire et que je tombe enceinte. L’autre nuit, je savais que ...
... c’était juste avant mes règles, je risquais rien… Moi aussi je suis en manque, je voulais pas tromper votre fils. Et je la serre encore contre moi. Elle me sourit, je la prends et on se met à table. Je lui dis de manger, après on ira nous promener. Elle va beaucoup mieux. Je lui demande encore pardon et l’embrasse sur le front. Elle me dit : — Je préfère aller dans mon lit. Je m’allonge à côté d’elle et je la serre contre moi et lui dit : — L’ouvrier viendra toutes les nuits et nous baisera. Ça nous fera du bien et à lui aussi. Si vous êtes d’accord, car Sidi va bientôt revenir et tout sera fini.— Tu es jeune et naïve, les hommes ne se privent de rien.— Eux c’est normal, pas nous. C’est l’éducation qu’on a reçue.— Les hommes ont tous les droits, nous rien. C’est eux qui décident de tout, surtout chez les Kabyles. Tout est rentré dans l’ordre. Elle commence à sourire. Elle me dit : — Va préparer le repas, je vais dormir un peu… Elle se réveille tard, tout est revenu comme avant. On reste longtemps à table et je lui dis : — L’ouvrier va bientôt arriver. On fait comme si il s’est rien passé, mais vous me laissez lui parler. Je veux que c’est nous qui menions le jeu. Il fera ce que je lui dirai. Si on se laisse nous dominer, il fera ce qu’il voudra de nous. Est-ce que vous êtes d’accord ?— Fais ce que tu veux, ma fille.— Est-ce que vous êtes d’accord qu’il nous baise chacune son tour ou les deux ensemble ?— Ça te gêne pas ?— Au contraire, vous m’apprendrez plein de choses. Moi je ne ...