1. COLLECTION LESBIENNES. Gladys (2/6)


    Datte: 02/08/2017, Catégories: Entre-nous, Les femmes,

    ... J’enlève mon paréo, mais comme me l’a appris ma maman, je descends les marches tranquillement, car je suis en pleine digestion. Je me tenais au bord, afin que mon corps s’habitue au changement de température, c’était la première fois que j’étais dans une piscine les seins nus et je dois dire que j’aimais. À ce moment alors que j’allais m’élancer, tel un crocodile nageant dans son marigot, elle est venue derrière moi, ses bras ont enserré ma poitrine et j’ai senti sa main se poser sur mon sein. Malgré le froid de l’eau, cette main me brûlait, alors je me suis retourné et nos bouches dans un même élan se sont trouvées. J’ai enfin compris les signes qu’elle m’envoyait depuis notre arrivée, Gladys était faite pour aimer les femmes et comme j’étais une femme, j’ai compris son envie de moi. Surtout quand sa main cachée par l’eau est venue sur le bas de mon maillot, j’ai vite compris que ce morceau de tissu ne serait d’aucun secours pour moi. Nous nous regardions intensément, au plus loin que je me souvienne, aucun regard ne m’avait sondé aussi intensément, il faisait assez jour pour que nous évitions de tourner notre regard. Par quel miracle sa main se retrouvait sur mon clitoris, il jouissait facilement quand Clément le suçait ou que je me masturbais quand trop pris par son travail dans les années où tout allait bien et ensuite quand les soucis sont venus, car il me délaissait. À ce moment, cette main caressant mon bouton a été si efficace que j’ai senti un frisson monté le long ...
    ... de mon dos dès qu’elle l’a sollicité, j’ai perdu la notion du temps, quand les lumières autour de la piscine se sont allumées. • Mince l’éclairage automatique. Le charme était rompu, un instant, j’ai eu peur que ce ne soit Lucien et Clément qui aient allumé en sortant du bureau, ce n’était pas le cas, mais cinq minutes après ils revenaient, nous venions de sortir de l’eau et Gladys venait de remettre son bas de maillot. • Une dernière coupe et dodo, ce travail m'a épuisé, sans compter que demain, je me lève tôt pour aller faire mon jogging du dimanche, Clément tu m’accompagne ! • Hors de question Lucien, le dimanche matin, nos enfants dorment et c’est notre seul moment d’intimité. • Je comprends, inutile de me faire un dessin, tu as de la chance, mon cher Clément. Il s’est arrêté là, regardant Gladys qui semblait le toiser, il a trinqué, vidé son verre et après nous avoir salués est parti se coucher. • Je vais démarrer la voiture Ophélie, salut Gladys et viens me rejoindre, merci patronne pour le bon repas que vous nous avez offert, bonne nuit. J’ai remis mon paréo, nous étions à nouveau seules, telle une louve, elle est venue se coller à moi, à travers le léger voile que j’aie sur la peau, ses seins sont entrés en contact des miens me brûlant à nouveau. • Tu m’échappes pour ce soir, de plus, tu as joui et moi pas, je suis jalouse que demain ton mari te prenne, mais c’est mon lot, je suis souvent seule, file. Joues-tu au tennis ? • J’en ai fait avant de me marier, la venue de ...