1. Forcé dans le taxi pour ma première fois (1)


    Datte: 02/10/2018, Catégories: Gay

    ... les cheveux. Je me laisse complètement faire, finalement ce n’est pas si désagréable. Je me donne un peu et donne quelques mouvements de langue. egueaaht La route continue et je me sens excité par la situation. Je sais que c’est visible, mais le chauffeur est tellement à fond dans son débat à l’avant que j’en profite. D’un coup, le taxi s’arrête pour laisser descendre le passager à l’avant. Alors que je veux me montrer plus discret, l’inconnu n’a qu’une envie : me baiser la bouche. Ses mains ont saisi ma tête au niveau du crâne et du cou, et il m’a littéralement baisé la bouche alors que le taxi redémarrait. Je n’ai pas eu le temps de vraiment réagir à ça, j’avais l’impression d’encaisser une dizaine de coups de bite à la seconde. Combien paieraient pour ce genre de fantasmes ? Je suce bien, je me montre de moins en moins discret. J’avale en entier ses couilles, et glisse un doigt entre ses jambes. Je sens que ma bite va éclater d’excitation. J’entends des petits « sale chienne » suffisamment discrets pour m’encourager. Je fais des bruits de plus en plus explicites, je bave, j’avale en entier. Evidemment, ça n’a pas trainé : - Vous foutez quoi derrière ? lance le taximan. - Je baise l’autre connard que vous avez pris, mate ça ! s’exclame le mec à côté de moi. T’arrêtes pas ! Le taximan, surpris mais pro, continue sa course. D’un coup, le mec enlève sa ceinture de sécurité et se met à genoux sur les sièges en maintenant ma tête. Il me baise la tête comme une chienne. Je ...
    ... subis, je tente de maintenir la bouche ouverte, et je bave beaucoup. J’entends les plaintes du chauffeur. Soudain, le mec me pousse en arrière et éjacule tout son jus sur moi. J’en ai partout, mais il y en a plein autour de moi dans le taxi. Le mec hurle en jouissant, me fout une énorme gifle et sort d’un coup du taxi en courant. Le chauffeur n’a pas le temps de réagir que ce connard s’est barré, en me laissant baignant dans son sperme et ma salive. - C’est une blague ? Bordel de merde ! Ce connard a pas payé, ni pour sa course, ni pour le bordel qu’il a foutu ! Et puis merde, t’es qui toi ? Je savais que je devais pas te prendre ! T’as niqué ma soirée. Si t’avais pas été une grosse chienne, on n’en serait pas là ! J’ai envie de te tuer, et je suis sûr que t’as pas assez de thunes évidemment. Pour ma défense, j’avais du mal à argumenter la bouche à moitié endormie par cette pipe et par l’alcool. « Il va falloir payer » me répétait le chauffeur. Et je ne pouvais pas lui donner tort, mais j’avais peur. Il verrouille toutes les portières, et démarre au quart de tour. Dans sa radio, je l’entends donner pas mal d’instructions « retire moi du service », « je vais laver au mieux avant de la désinfecter », mais aucune mention de moi, et on s’éloigne de mon domicile. Je me sens de moins en moins à l’aise quand la voiture s’arrête près d’un champ. - Petit con, tu vas me le payer. La portière s’ouvre, et ma tête bascule naturellement dans le vide alors que je suis toujours couché sur la ...