La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 578) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 578)

... l’excitation accumulée. Le Marquis d’Evans qui est très perspicace comprend en un flash de seconde que les plaisirs saphiques vanille des deux femmes sont la suite logique des événements et c’est donc avec une grande délicatesse qu’il précise. - Très chère amie, il va me falloir à mon grand regret vous quitter, car je dois continuer à faire le tour de mes invités. Et puis, il me semble que vous avez des occupations agréables qui vous attendent dans lesquelles je n’ai pas ma place. - Très cher Marquis d’Evans, les bras tendus de ma compagne sont en effet un appel à l’Amour saphique que nous nous portons, mais ce soir elle est ma petite chatte-soumise, et c’est à moi et à moi seule de décider quand je viendrai ronronner à ces côtés et mouiller sous d’experts coups de langue. De plus, Vous êtes ici chez Vous, dans la Noble demeure de Vos ancêtres, donc Vous ne pouvez qu’avoir toute Votre place à tout moment et en tout lieu. C’est moi, bien au contraire, qui ne suis là que parce que je suis Votre invitée. Je m’en voudrai terriblement si Vous pensiez que je Vous chasse pour des petites léchouilles de gouines en manque de sexe, alors que j’apprécie tant Votre compagnie de qualité et tous nos échanges épistolaires entre deux soirées D/s. - Maîtresse Zaphira, ne craigniez rien, je ne me sens pas chassé le moins du monde. C’est moi qui doit me résoudre à vous quitter, j’ai vraiment apprécié de voir que vous avez su tirer tous les profits de cette sexe-machine que je compte encore ...

... perfectionner pour pouvoir l’utiliser plus intensément et dans des positions diverses et variées. J’ai été charmé de passer quelques instants en votre si douce compagnie. Je vous souhaite une très bonne nuit de plaisirs saphiques car je sais que telle est votre attirance que je respecte totalement. Après avoir libéré de leur pal à roues les deux soumises enculées, la chienne Holly MDE et la soubrette MDE qui avaient été réquisitionnées sur ordre du Maître des Lieux s’étaient agenouillées en position d’attente, les mains croisées dans le dos et la tête baissée. Le Marquis d’Evans tape dans ses mains, une fois et une seule, un claquement sourd et fort caractéristique que les deux soumises MDE reconnaissent instantanément. D’un même élan, tout en gardant un regard baissé lié à leur condition d’esclave, elles relèvent immédiatement la tête juste ce qu’il faut pour pouvoir prendre acte des nouveaux ordres qui leur seront imposés. - Ma chienne Holly MDE, Debout ! Il y a longtemps que tu déambules sur tes pattes avant et arrière. Il me plait intensément de te traîner en laisse, car tu es Ma chienne à moi. Mais tes genoux humains ne sont pas faits pour la marche prolongée en quadrupédie, cela va te faire du bien de changer de position. Exécution ! Il n’est pas dans les habitudes de Holly MDE de contester les ordres de Monsieur le Marquis d’Evans, ni même de se poser de questions au sujet des exigences du Dominant auquel elle appartient. Ses genoux sont effectivement déjà bien rouges ...