mon fils baise sa mère pour son anniversaire
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... première fois, violemment.Mais elle veut davantage que la langue de son fils, si habile soit-elle. C’est son sexe qu’il lui faut, qu’elle veut sentir s’enfoncer en elle. C’est par cette queue qu’elle veut se sentir défoncée, labourée. Affamée, folle d’impatience et de désir, elle le veut en elle de suite. Cette attente qu’il lui impose lui est insupportable.Encore tremblante du plaisir qu’elle vient d’avoir, elle l’attire sauvagement sur elle…Je voit le gland turgescent et violacé écarter les lèvres gorgées de sang de la vulve de ma femme allongée, écartelée et ouverte. La lente pénétration de cette verge dilate peu à peu le vagin qui l’enserre entre ses parois chaudes, humides et à mesure distendues par cette intrusion. Puis, lorsqu’elle est parvenue au bout de sa course, tout entière enfouie et tout au fond du ventre de ma femme, elle reste là un moment, immobile, remplissant toute la cavité, laissant les souples parois s’habituer à sa présence, à son volume.je voit cette queue, toujours complètement enfouie au tréfonds de ma femme, entreprendre un lent mouvement de rotation qui lui permet d’assouplir et d’étirer encore plus la cavité qui l’enserre. Marianne sent cette rotation démoniaque distendre encore les parois de sa grotte ruisselante. Puis je la voit qui se retire lentement, luisante de sucs, jusqu’à ce que la corolle des petites lèvres n’entoure plus que l’extrémité du gland, avant de revenir d’un mouvement toujours aussi lent et puissant, cogner à nouveau le fond ...
... du fourreau soyeux. Et le piston poursuit son mouvement inexorable, encore et encore, coulissant puissamment, en longs allers-retours dans ce sexe accueillant, offert à ses assauts. Et son rythme cadencé et inépuisable l’entraîne de plus en plus loin au fond des entrailles de Marianne.Je la voit, ouverte, abandonnée, écartelée, saisie aux hanches par les mains possessives de son fils, se faire pilonner par cette queue infatigable, brillante de ses sécrétions intimes. Marianne, les reins creusés, allant au-devant des coups de boutoir,seins secoués au rythme des coups de reins de son amant, les mamelons érigés, durcis par le désir et le plaisir, dardés et offerts à la bouche et aux dents. Je la voit nouer ses jambes autour de son son fils pour que son sexe s’enfouisse encore plus loin en elle, plus profond dans son ventre, tout au fond de ses entrailles.je la voit l’entourer de ses bras pour ne faire plus qu’un avec lui, accompagner chacun de ses mouvements, précipiter son ventre à sa rencontre pour le sentir la remplir toute, pour être encore davantage toute à lui, alors que la cadence et le rythme de leurs mouvements s’accélèrent encore et que la verge semble encore grossir, plus impressionnante, plus puissante à chaque coup de reins… Je entend aussi… le premier soupir de satisfaction de Marianne lentement pénétrée, puis le crescendo de ses râles, ses gémissements sous la fougue de son fils, ses cris inarticulés lorsque sa jouissance trop forte n’en a plus fait qu’un pantin ...