Une beauté de Rubens
Datte: 03/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
frousses,
couple,
médical,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
fépilée,
complexe,
... spécialiste des hormonothérapies, officiait dans sa clinique privée, fruit de l’héritage de ses parents. La communauté médicale admirait les résultats de la clinique mais déplorait que les patientes soient admises et refusées sur des critères purement subjectifs. Laurent le savait, Hector avait comme lui la passion des femmes rebondies et toutes en rondeurs. Faire maigrir des filles presque anorexiques lui semblait la dernière des monstruosités, voilà pourquoi il n’était pas devenu la nouvelle coqueluche des stars qu’il aurait pourtant tout à fait été capable d’être. L’inviter à partager un week-end fut chose aisée pour Laurent. Il n’avait jusqu’ici pas présenté Victoria à Hector, de peur que celle-ci soit troublée par la personnalité complexe et parfois tordue de son compagnon d’études. A son arrivée, Victoria fut saisie par la prestance et la classe de leur invité. Se fendant d’un chaleureux sourire, il salua tour à tour son vieil ami et sa femme dont il subodorait déjà qu’elle serait le sujet le plus agréable de son séjour. A l’issue d’un repas qui fit appel aux plus belles figures de la cuisine française accompagnées de beaux flacons, Victoria, grisée par le Sauternes et rassurée par sa spécialité médicale, interrogea Hector sur son absence de prise de poids. Celui-ci avait vite compris à qui il avait affaire, lisant en elle comme dans un livre. Amusé, Hector lui demanda pour la forme : « Mais que veux-tu exactement, Victoria ? Ton poids correspond parfaitement à ta ...
... taille. C’est une requête peu courante pour une femme que de vouloir être aidée à grossir ! » Dans un soupir, Victoria lui répondit « Je me sens si plate, si peu féminine, je veux être belle, sentir les rondeurs me donner un vrai corps de femme, plaire à Laurent encore plus que je ne lui plais maintenant » L’intéressé répondit par un léger rougissement alors que ses sens s’échauffaient rien qu’à penser sa femme en déesse de la lubricité. Hector pris le ton d’un professeur d’université pour leur expliquer qu’il pouvait tout à fait répondre aux désirs de Victoria, qu’il se chargerait de lui donner le corps d’une beauté de Rubens en un mois. Tout ceci gracieusement bien entendu et grâce à un nouveau programme d’hormonothérapie qu’il avait crée pour des jeunes anorexiques. Un peu prise au dépourvu, Victoria hésite et reste silencieuse. Hector sent qu’il est temps de prendre les choses en main. Il invite la jeune femme à se lever de table et la place devant lui, face au grand miroir qui orne une antique armoire. Glissant ses mains sous les petits seins de Victoria, il lui dit « ne voudrais-tu pas sentir une vraie poitrine tendre ton chemisier, avoir les seins d’une femme épanouie? Et ces hanches, je leur donnerai les courbes d’un violoncelle! ». Confiante et rassurée par le ton sans équivoque d’Hector, Victoria ne peut que lui exprimer sa gratitude. Son esprit flotte un temps et elle se voit comblée et toute en rondeur. Et pourtant, derrière l’espoir perce le doute. Saura-t-il réaliser ...