1. Mon beau facteur.


    Datte: 04/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... poussé mes pions, j’étais en train de le ferrer, il fallait maintenant que je l’attire dans mon lit et entre mes cuisses. Une semaine est passée, je l’ai laissé prendre ses marques, moi je n’en pouvais plus de cette cohabitation sans sexe. Il se lavait la bite dans ma douche, il lavait ses boxers, ses shorts et ses jeans moulants dans mon lave-linge, il se grattait les couilles et se branlait peut-être dans les draps que je lui avais prêtés. Non, ça ne pouvait pas durer comme ça ! J’ai tenté le tout pour le tout un mardi soir. On avait discuté toute la soirée sur le canapé. On est partis se coucher, un quart d’heure après, je me suis relevé, j’ai ouvert la porte de sa chambre, il feuilletait un magazine, a levé la tête et, l’air surpris, il m’a dit : « Qu’est-ce que tu veux ? » « Ta bite ! » Là, je me suis approché du lit, j’ai soulevé la couette, il était nu et bandait ! J’ai avalé son chibre avant qu’il réagisse, je me suis mis à lui caresser la poitrine, il s’est rallongé, le magazine est tombé par terre et il a poussé un très long soupir de plaisir. Enfin, il était à moi mon beau facteur ! Sa bite était aussi bonne que dans mes rêves, au moins 20 cm par 5, un gland dur, rouge de désir, bouillant, de la mouille sortait du méat, ma langue s’enroulait autour, je salivais un maximum, il gémissait de plus en plus, ses mains se sont posées sur ma tête et m’ont caressé les cheveux. J’ai léché la hampe puis je l’ai avalée, j’ai planté mon nez dans ses poils pubiens et j’ai ...
    ... inspiré fort pour m’imprégner de son odeur de mâle. J’étais comme shooté ! Ça m’a donné de la vigueur, j’ai accéléré le mouvement. Il se laissait faire, complètement abandonné, à ma merci, sa queue coulissait dans ma bouche et s’enfonçait parfois dans ma gorge. Je l’ai sucé comme un affamé pendant de longues minutes. J’ai soudain senti ses mains se crisper sur ma tête, il a donné un léger coup de reins, sa bite s’est encore raidie, son gland a grossi et s’est durci et là, ma récompense est arrivée en 7 jets épais, chauds, salés qui m’ont rempli la bouche. J’ai avalé ce précieux nectar et je me suis encore acharné sur sa bite pour en extraire les dernières gouttes dont je me suis délecté comme d’un grand cru de vin. En même temps, comme je me branlais, j’ai joui comme un fou, mon jus est tombé sur les pages de son magazine ! Je l’ai regardé, il m’a souri et m’a dit : « Toi, tu me voulais depuis longtemps, je me trompe ? » « Depuis le jour où je t’ai vu mais j’ai été patient ! » « Et, ça valait le coup d’attendre ? » « Ah oui alors ! » « Crois pas que tu m’as dépucelé, t’es le deuxième mec à me sucer, le premier, j’avais 18 ans, j’avais détesté. Toi, t’es un sacré suceur, j’ai adoré. » « T’as pas idée de tout ce que je sais faire ! » « J’en doute pas, il va falloir que je vois ça. En tout cas, j’espère qu’au lit t’es meilleur qu’au footing car, permets-moi de te le dire, t’es une vraie bille ! » J’ai éclaté de rire, je suis monté dans son lit, on s’est allongé l’un contre l’autre, il ...