Le club des nymphes - tome II (7)
Datte: 02/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... remise. Elle a donc monté un autre club et maintenant essaye de nous faire disparaître. — Mais vous faites quoi au juste dans vos clubs ? redemande-t-il. — Pour ça, fillot, je crois que tu n’es pas encore prêt… plaisante sa marraine. Quoi qu’il en soit, malgré le fait qu’on ne soit seulement que douze personnes – alors que l’année dernière nous étions plus du triple chez Sarah – la soirée se déroule quand même. Au moins, l’avantage c’est qu’on ne se marche pas sur les pieds. — Kyakyatkyetsky ! lance Boris. — Non, c’est Kyakatzkyetsky, le corrige Anzhelina. — C’est trop compliqué, j’abandonne ! Je n’y arriverai jamais, se décourage-t-il. — Mais si, fillot ; allez, un petit effort si tu veux ton cadeau. — Au moins si tu me disais quel cadeau tu veux m’offrir... — C’est une surprise, tu verras. — Allez, marraine… insiste-t-il. — Bon OK, je vais te le dire : ton cadeau, c’est une fellation. — Ha-ha, très drôle ! ironise-t-il. Mais vraiment, c’est quoi mon cadeau ? — Boris, lui lancé-je, tu peux la croire. Si elle te dit que c’est ça ton cadeau, c’est que ça l’est. Il commence à douter que ce soit une blague. Il observe Miss Punk qui reste impassible. Ses yeux passent sur tous les élèves de deuxième année présents qui lui confirment tous mes dires d’un signe de tête. Boris retient un sourire. Il n’a pas l’air totalement convaincu mais doit se dire que ça vaut le coup d’essayer. — Kyakakyetsky, se relance-t-il avec une toute nouvelle motivation. — Presque, mais ce n’est pas encore ...
... ça, rit Anzhelina. — Elle est vraiment sérieuse ou c’est une blague ? me questionne discrètement Arthur. — Bien sûr qu’elle l’est ! répond à ma place Louise. Tu ne l’en crois pas capable ? — Non, je n’sais pas… C’est juste qu’elle en parle comme ça… — Comme la plupart des personnes, Anzhelina aime le sexe. Elle n’a aucunehonte à avoir à ce sujet, et donc ne se gêne pas pour en parler ouvertement, d’autant plus que nous sommes ici en amis. Vous aimez le sexe aussi tous les deux, je suppose ; pensez-vous que ce soit une chose à cacher ? Arthur et Élizabeth rougissent. Ils semblent mal à l’aise. Je souris et me revois un an en arrière, pris entre Sarah et Aliénor qui me chauffaient. — Euh, non, hésite à répondre Élizabeth. — Pensez-vous que c’est normal d’en avoir honte et de finir par se priver de se faire plaisir ? Vous priveriez-vous d’un bon repas ou d’aller mater un bon film sous prétexte que certaines personnes trouvent ça dégradant ? — Non, ça paraît insensé ; il n’y a aucun mal à se faire plaisir, répond Élizabeth. — Et toi, fillot, qu’en penses-tu ? demandé-je à Arthur. — Euh… oui, je suis d’accord. Personne ne devrait avoir à se restreindre. — Dans ce cas, vous partagez la philosophie du club des nymphes. Maintenant, dites-nous, tous les deux :trouvez-vous que vous vous accordez ce plaisir aussi souvent que vous le voulez ? les questionne Louise. Aimerez-vous pratiquer plus ? Aucun des deux ne semble vouloir répondre. Ils rougissent à la place et détournent les yeux. ...