1. Ciao ciao bambina


    Datte: 04/10/2018, Catégories: inconnu, Collègues / Travail médical, uniforme, danser, fête, avion, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, champagne, aventure,

    ... rouvre les yeux, l’assistance est ébahie, puis quand ils réalisent qu’elle se livre à un strip-tease, c’est la liesse générale. Elle dégage un bras du chemisier, puis l’autre, et ce dernier est rattrapé par un homme qui enfouit son visage dedans. Elle trempe son doigt dans le premier verre à sa portée, puis se caresse le cou, les clavicules, et finit par le sillon séparant ses seins. Ses seins, qui ont chaud, qui enflent dans leur prison de soie. Elle en libère un qui, toujours maintenu par le triangle, remonte presque jusqu’au cou. Elle retrempe son doigt dans un verre, lui fait faire le tour du téton et s’approche d’une bouche à laquelle elle l’offre. Une main se propose de libérer l’autre sein, mais elle la redirige vers l’agrafe du soutien-gorge. Ainsi délivrée, elle se couvre pudiquement la poitrine. Désapprobation bruyante de l’assistance. Elle réclame du champagne, on lui en propose, mais ce n’est pas le bon. Victoire rallie et pallie rapidement l’incident. Elles échangent un baiser langoureux, pour la première fois. Mathilde la repousse et ramène ses mains dans le dos pour défaire sa jupe. Elle la retient ensuite, et par petits déhanchements la fait glisser le long de ses jambes jusqu’à ce qu’elle forme un petit tas au pied de ses orteils carmins. Elle se retourne, se cambre, écarte le morceau de soie d’un côté, puis de l’autre. Elle se retourne, puis envoie un baiser aérien (comme dirait Victoire). Tonnerre d’applaudissements. On veut la toucher, l’embrasser, ...
    ... empoigner son vagin, ses fesses, la doigter, comme pendant les festivals de Rio. Elle ramasse son uniforme, s’esquive dans la chambre d’amis et s’écroule de sommeil. Le lendemain elle se réveille, se douche à la hâte, repasse son uniforme et sur les lieux de ses méfaits et se sauve direction CDG. Briefing avec l’équipage, pas de consigne particulière, les pilotes s’avancent pour se présenter. Merde, Laurent, pense-t-elle, en reconnaissant le commandant de bord. Elle demande le galley arrière mais il insiste pour l’avoir à l’avant, c’est à dire pour servir également le cockpit et la classe affaire. Il est Dieu à bord, donc elle sera à l’avant. Ils ont été amants, ont failli se marier et il s’est entiché d’une hôtesse au sol, autant dire d’une pâquerette de la profession. Elle ne lui en tient pas rigueur mais passe beaucoup de temps à ignorer ses appels et effacer ses messages, car la pâquerette n’était pas douée pour décrypter les états d’esprit, et chaque changement d’humeur de son amoureux donnait lieu à des caquètements angoissés de « keskiya keskiya ». L’équipage monte dans l’avion, chacun inspecte la zone qui lui est dévolue, vérification des prestations, remplissage de paperasse. Mathilde s’affaire et ne remarque pas que Laurent est sorti de l’avion. Elle se baisse pour ramasser un gobelet tombé par terre, et en se relevant glisse le long de Laurent qui s’est quasiment collé à elle. Elle le foudroie du regard, il hausse les épaules et dit simplement : — Un petit problème de ...